Ma tante de 45 ans est sublime (16) - Histoires de Sexe

Ma tante de 45 ans est sublime (16)

... entièrement me transcenda. Une fois mon sexe en elle, elle posa ses mains sur mes épaules, ce fut sa manière à elle de me prouver qu’elle se livrait complètement à moi. Elle se dégagea ensuite de moi pour m’inviter à continuer sur le lit. Chantal ne se gêna point, elle se mît en levrette tout au bord, m’offrant sa belle intimité. — Viens chéri, viens me prendre ! — Eh faut demander gentiment... — S’il te plait mon neveu d’amour, viens pénétrer la belle chatte de ta tante qui en meurt d’envie ! — C’est beaucoup mieux... Une fois encore, ce fut plus fort que moi, j’approchai mes lèvres et les appliquer contre celles de son sexe. Chantal surprise, ondula son bassin et ma langue vint pénétrer son vagin. Je ressentis une belle liqueur envahir ma bouche, ma tante commença à jouir. Ainsi je me remis à l’ouvrage, introduisant une nouvelle fois mon sexe dans l’orifice de ma superbe tante. Je débutai d’une manière très soutenue, Chantal subissant mes assauts avec un plaisir difficile à dissimuler. Pour preuve, elle cambra son beau postérieur, synonyme d’une pénétration plus profonde de ma part. — Qu’est-ce que tu sais bien me baiser toi !! — Que veux-tu ! C’est si naturel entre nous. Lui dis-je entre deux ruades. — Tu aimes ta tante...on dirait ! Dit-elle comme pour se rassurer. — J’aime lui donner du plaisir. — Ne te prive pas... J’accélérai pour atteindre les étoiles qui se déversèrent dans le bas ventre de ma partenaire de rêve. Elle jouit intérieurement durant mes spasmes effrénés, ...

... elle gémit du plaisir de se sentir pénétrer, elle hurla en silence de cette semence qui l’inonda, elle resta immobile de l’orgasme ressenti. Je restai en elle, sans bouger caressant ses fesses majestueuses. Nous fûmes l’un dans l’autre, savourant notre bonheur si sexuel de se savoir si proches. Je me détachai de ma tante, elle se leva et vint debout se blottir contre moi sentant son corps transpirant. — T’es une pure merveille à baiser ma chère Tatie. — Je te retourne le compliment mon amour. — Bon il faut y aller. Ma mère prit soin de de nous ramener à l’aéroport en espérant nous revoir bientôt. Nul mot échangé entre ma mère et moi, mais les non-dits se lurent dans nos regards respectifs. Une sorte de honte intérieure s’empara de moi lorsque ma mère me dit de bien prendre soin de ma tante... Au mois de mai, ma tante fit une échographie et la joie se fit naitre sur son visage. Nous allions avoir une fille. La poitrine de ma tante commença à prendre du volume, ce qui fut loin de me déplaire. Les semaines défilèrent à la vitesse grand V. Au bureau, personne ne s’aperçut que ma tante fut enceinte. Certes les coups de fatigue furent fréquents, mais point de nausées ou vertiges. Ma mère prit de ses nouvelles régulièrement, se faisant à l’idée qu’elle deviendrait grand-mère par sa propre sœur. Bien entendu, une sorte de statu quo s’instaura, Mike ne fut pas mis dans la confidence ni mon petit frère. Chantal se prit au jeune de future jeune mère, achetant de temps en temps quelques ...