Ma tante de 45 ans est sublime (16) - Histoires de Sexe

Ma tante de 45 ans est sublime (16)

... habits. Notre vie sexuelle se mit tout naturellement au ralenti, la libido de ma tante baissant considérablement sauf un jour, cela se passa à partir du 4ème mois. Nous fûmes sur notre canapé, regardant la télé de manière passive et Chantal vint se lover contre moi. Elle prit pour habitude de porter une robe de chambre sans rien en dessous, histoire de rester désirable face au jeune amant que je fus. Je la vis ôter sa ceinture pour entrouvrir largement sa robe, exhibant sa belle poitrine appétissante. — Goûte moi mon chéri. Me dit Chantal attirant son sein vers moi. — Qu’est ce qui te prend ? — Goûte ! j’en ai envie... Ma main se promena sur ce sein vigoureux, en fit le tour et ma tante pencha la tête en arrière. Je me penchai à mon tour et ma langue lécha son aréole pour aspirer son magnifique mamelon. Chantal me passa la main dans les cheveux, mes dents mordillèrent avec délicatesse la précieuse pointe qui se montra bien généreuse. J’aspirai son sein en conservant son mamelon en bouche pour finir par le pincer avec les dents. Au bout de quelques minutes, mon travail, si je puis dire, porta ses fruits. Je récoltai un liquide légèrement jaunâtre et je vis ma tante aux anges. J’attrapai son second sein et en fit de même. Le résultat fut identique et je poursuivis cette expérience nouvelle et fort agréable. — Tu aimes Jean ? — C’est spécial et délicieux ! — Allons dans la chambre. Me dit ma formidable maîtresse. Chantal se leva entièrement nue, débarrassée de ladite robe de ...

... chambre. Je m’aperçus à cette occasion que ses hanches avaient, elles aussi pris du volume. Ma tante n’y alla pas par quatre chemins. Je n’eus pas le temps de la rejoindre qu’elle fut déjà allongée sur le lit, les jambes écartées, bien décidée à vouloir s’accoupler avec son jeune neveu. Nul besoin de préliminaires, Chantal écarta ses lèvres, chose qu’elle n’avait jamais faite aussi vite. Sans me poser de questions et devant l’élégance de son sexe, ma verge pénétra cet orifice si riche en sensations exquises. Chantal gémit de me sentir venir en elle, de m’introduire dans ses profondeurs intimes. Je caressai sa peau devenue si douce durant sa grossesse. — C’est toujours aussi génial avec toi mon neveu ! — Tu ne peux pas savoir comme tu es belle. — Ne dis pas de bêtises. Chantal m’agrippa, m’entoura avec ses jambes. Elle fut déchaînée, s’abandonnant comme il le fallut durant notre accouplement quelque peu bestial. Nul baiser, je ressentis son souffle s’accélérant dans le creux de mon oreille et à mon tour, j’imposai un rythme infernal à ma tante. Elle en redemanda en se lâchant, se libérant. — Défonce moi ! Plus fort... — Je viens en toi ! — Oooh ouiii, viens ! viens encore et encore... Je crus perdre mon âme le temps de ma jouissance, Chantal cria dans la chambre son orgasme déferlant. — Tu es beau ! Tu me baises ! Tu me fais jouir ! C’est si merveilleux ! Je ne reconnus plus ma tante, instant inoubliable. Ses ongles entrèrent dans ma chair, preuve de son orgasme puissant. Je la ...