1. Le jour où ma vie bascula. (2)


    Datte: 03/11/2020, Catégories: Transexuels

    Je touchais fébrilement ma nouvelle poitrine, toujours sous le choc, je descendais les mains à mon entrejambe, ici aussi je n’étais plus le même. Je bondis hors du lit allume la lumière et me regarde dans le miroir. J’y vois une jeune femme ravissante, des cheveux roux mi-longs descendants jusqu’aux épaules. Je baisse les yeux, regarde mon corps, nu. Je vois une poitrine très agréable à regarder ; un 95 C à vue d’œil. Je regardais mon pubis, étrangement tous mes poils avaient disparu. La sensation la plus étrange est sans aucun doute la disparition de mon pénis, je ne sens plus rien « pendre ». Je n’arrive pas à y croire, c’est forcément un rêve. Perdu dans mes pensées je ne remarque pas qu’Amy s’est assise sur le bord du lit. Elle me regarde, l’air satisfaite : — C’est incroyable comment ton corps a réagi, tu es magnifique Léa. Je me retourne, chancelant… Ou devrais-je dire chancelante ? — Explique-moi tout Amy je t’en prie ! Implorais-je — Tu te souviens de la pilule que je t’ai donnée hier soir ? J’hochais la tête en signe d’approbation. — Et bien c’est à cause, ou plutôt grâce à elle que tu te retrouves dans ce corps. Me dit-elle en souriant. — Mais c’est impossible ! Comment une simple pilule pourrait me transformer en ça ? Plus je parlais, plus je sentais ma voix se féminiser, j’étais désemparée. — Habille-toi et suis-moi. Par contre désolé, mais je n’avais pas prévu que tes seins soient aussi gros, tu va devoir te passer de soutien-gorge, désolée ma chérie, me dit-elle ...
    ... avec un clin d’œil. Elle me jeta le débardeur blanc de la veille, le même mini-short et un string extrêmement vulgaire. Je l’enfilais à contrecœur, mais au fond de moi, j’appréciais vraiment sentir ce doux tissu glisser contre ma peau. Sans vouloir vraiment me l’admettre, une petite partie de la situation m’excitait, j’avais vraiment envie de me caresser et de découvrir de nouvelles sensations. Je montais dans la voiture, gênée par mes tétons apparents, elle ne disait toujours rien. — Où tu m’emmènes ? — À ta nouvelle vie, je suis certaine que ça va te plaire ! — Non mais attends, il n’y a pas de nouvelle vie ou quoi, je dois aller en cours, voir mes amis, j’ai une vie, et et… — Je t’expliquerai ça sous peu, ne t’en fais pas. Trop de questions se bousculaient dans ma tête. Comment vais-je faire avec ma famille, mes amis, ma vie est foutue, personne ne me croira.. Nous arrivâmes devant une grande bâtisse blanche, Amy signe d’entrer. J’entrais d’un pas hésitant, toujours chancelant et découvrais avec stupeur qu’il n’y avait que des hommes à l’intérieur. On me dit de rentrer dans une salle qui paraissait être une salle de réunion et de m’y asseoir. J’étais là, sur ma chaise, attendant je ne sais quoi. Après quelques minutes, 4 hommes rentrèrent accompagnés d’Amy et d’une autre femme que je n’avais pas vu auparavant. — Il est temps de tout t’expliquer, dit la femme. — Oui, si tu ne vois que des hommes ici, il faut que je te dise qu’ils étaient autrefois des femmes. wqmwzzah — Et ...
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