Le jour où ma vie bascula. (2)
Datte: 03/11/2020,
Catégories:
Transexuels
... profondément dans ma fente. Mon corps était parcouru de centaines de décharges électriques, je sentais la douceur de sa langue sur mes lèvres, je dégoulinais de cyprine. La sensation était très étrange, j’avais l’impression d’avoir une érection mais je n’avais pas de pénis, je ne me sentais plus réellement moi-même. Au bout d’un certain temps, il approcha sa main et inséra tout doucement un premier doigt dans mon intimité, c’était divin, jamais je n’aurais cru ressentir de telles sensations. Être une femme n’allait peut-être pas me déplaire. Après quelques minutes, il me dit de m’asseoir au bord du lit et de le sucer. J’appréhendais énormément, avoir un rapport avec un homme était quelque chose que je n’avais jamais imaginé auparavant. J’approchais timidement mes lèvres de ce membre odorant, bien plus gros que mon ancien pénis, et je faisais coulisser doucement son gland dans ma bouche. Ce n’était pas désagréable, et j’avais envie de plus, je prenais son pénis le faisant entrer de plus en plus dans ma bouche, je le léchais, gobais ses bourses, et je sentais un peut de liquide séminal couler au fond de ma gorge. J’astiquais son manche avec une telle application, me voir ainsi à l’oeuvre était très étrange, je léchais tantôt son frein tantôt la base de son pénis, et je prenais un malin plaisir à arrêter de le masturber quand il était sur le point de jouir. Sucer m’avait procuré une explosion de saveur, et j’adorais la sensation de contrôler le plaisir de quelqu’un à ce ...
... point. Au bout d’une dizaine de minutes, il m’ordonna de me mettre à quatre pattes, et sans savoir pourquoi j’obéissais à la lettre sans poser de question. En position de levrette, je sentais le bout de son gland frotter contre mes lèvres, j’étais extrêmement sensible et la seule idée d’insérer son pénis en moi me faisait frissonner. Il cracha sur sa main et enduisit son pénis de salive avant de le positionner à l’entrée de ma vulve. Mon cœur n’avait jamais battu aussi vite, et je sentis délicatement mes lèvres s’écarter, comme comblées par ce phallus. En quelques secondes, il buta au milieu de mon vagin. Il me demanda si tout allait bien, et avant même que je puisse répondre il appuya d’un coup puissant, déchirant au passage mon hymen. Ça y est, il m’avait dépucelée, je raffolais de ça, le sentir coulisser au fond de moi était une sensation indescriptible. Il butait parfois dans mon antre, j’aimais me sentir soumise à cet homme, j’étais contrainte de me laisser faire, et plus l’acte durait, plus je me sentais fondre. Des gouttes de cyprine tombaient sur les draps et je poussais des petits cris aigus. J’avais beau ne pas vraiment aimer ce mot, je me sentais chienne, et cela me convenait parfaitement. Soudain, il accéléra considérablement le rythme, il allait jouir, et moi aussi. Je senti d’un coup un liquide chaud me remplir et Alexandre se retira, s’affalant sur le lit, épuisé. Je tombais sur le ventre, mais douleur ! Je n’étais toujours pas habituée avec mes seins ! Je me ...