1. Tome 3 - L'été


    Datte: 04/11/2020, Catégories: f, h, fh, ff, Collègues / Travail BDSM / Fétichisme Masturbation Oral 69, fgode, nostalgie,

    Juin 2014 Je m’appelle Kathy et je vis à Dublin où je dirige une petite entreprise de lingerie fine. Ce matin, un léger crachin envahit l’horizon. Le temps est à l’image de mon humeur depuis ma rupture avec mon (ex) mari. Il avait un peu trop tendance à prendre les modèles qui évoluaient en petite tenue dans mon atelier pour son harem personnel. Cela fait donc plusieurs semaines que je suis célibataire. Je me suis jetée comme une folle dans le travail pour ne plus penser à ma solitude amoureuse. Je viens d’ouvrir les volets et tout en buvant mon thé et en grignotant des toasts allégés (tour de taille oblige… les filles me comprendront !) et non pas le copieux petit déjeuner irlandais à base d’œufs, de saucisses et de galettes de pommes de terre, je passe en revue tout ce que je dois faire aujourd’hui. En priorité, passer ma commande de soie chez cet excellent tisseur français (comment dit-on déjà ? Ah oui… le nom me revient : un canut). Soudain, une association d’idées liée à mon fournisseur me ramène quelques mois plus tôt. Cette aventure romanesque avec un Lyonnais. Je me lève et cherche frénétiquement ses coordonnées. Enfin, les voici. Mes doigts, au lieu de serrer une petite carte de bristol, s’imaginent courir sur le corps de cet amant de rencontre qui m’avait fait découvrir la plénitude de l’amour physique. Avec le recul, j’avais certainement enjolivé cette histoire, mais son souvenir était resté aussi vif qu’à l’époque. Je sens une boule de chaleur se former dans mon ...
    ... intimité. J’en reste surprise car je n’ai plus connu de telles sensations depuis ma rupture. Pas de doute, des images salaces se forment dans mon esprit et mon corps y répond. Une certaine langueur envahit mes muscles tandis que l’excitation monte dans mon sexe. — Tu deviens folle, ma fille… Je débarrasse la table, fais la vaisselle et me rends dans la salle de bains où je me laisse couler un bain. En attendant que la baignoire se remplisse, j’ôte ma nuisette et m’observe sans concession dans le miroir. Malgré mes 37 ans, mon corps a conservé de sa jeunesse une silhouette agréable avec des fesses bien rondes. Mon ventre est plat avec juste une petite touffe de poils roux soigneusement taillée à la jonction de mes cuisses ; et mes seins, d’un beau volume aux larges aréoles foncées, restent fermes. Je passe mes mains dessous pour les soupeser. Ils bougent de manière suggestive à chacun de mes mouvements. Instinctivement, mes mains en caressent les mamelons qui aussitôt se dressent et deviennent douloureux. Le bruit du robinet emplissant la baignoire me ramène à la réalité. J’entre dans l’eau et, posant la tête sur le rebord, me détends en savourant la chaleur de l’onde. Mes pensées reviennent se fixer à ces instants de bonheur dans les bras de ce Français. Oublié mon mari… comme s’il n’avait jamais existé. Je revois ce petit restaurant où nous avions dégusté des spécialités, ce bar où nous avions fini la soirée devant une coupe de champagne (enfin, je devrais plutôt dire une ...
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