Tome 3 - L'été
Datte: 04/11/2020,
Catégories:
f,
h,
fh,
ff,
Collègues / Travail
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
69,
fgode,
nostalgie,
... bouteille…) et surtout ces instants de frénésie sexuelle dans ma chambre d’hôtel. À cette évocation, mon ventre se noue et mes tétons durcissent de nouveau. Je fais couler un peu de gel-douche aux senteurs citronnées sur ma poitrine et commence à me savonner. Les mamelons sont tout durs sous mes doigts et je m’amuse à les faire rouler délicatement. Des élancements de désir se propagent dans tout mon corps en s’attardant dans mon bas-ventre. Ma main gauche laisse comme à regret le nichon qu’elle massait et descend vers cette zone qui l’attire inexorablement. J’ouvre mes cuisses et commence par lisser les quelques poils entourant ma fente, puis j’écarte mes grandes lèvres tout en massant légèrement ma vulve et, n’y tenant plus, je passe un doigt sur le capuchon de mon clitoris qui se gonfle sous la caresse. Mon autre main frôle l’extérieur de mon sexe et descend sur mes fesses pour en effleurer l’anus. Mon excitation grandit de plus en plus. Mon esprit se concentre sur mes sensations. J’aime faire l’amour avec un homme (quoique, avec mon mari, je le faisais surtout pour son plaisir à lui) mais, lorsque je me masturbe, je fantasme beaucoup. Le fait de penser à ce Français m’excite encore plus. Tout en me caressant le clitoris, et cette fois directement sur le petit bouton complètement érigé, j’enfonce deux doigts dans ma chatte. Je suis totalement lubrifiée et les chairs palpitantes s’écartent sous la poussée de mes phalanges. À mi-chemin de mon utérus, je sens une zone ...
... différente que je masse doucement. Mon vagin se resserre autour de mes doigts et une vague de chaleur monte du plus profond de mon ventre. Les ondes de plaisir se diffusent dans tout mon corps et je me pénètre jusqu’au fond en agitant frénétiquement ma main. Au moment où je sens que je vais jouir, je stoppe tout mouvement pour savourer mon excitation. J’ai tout mon temps et je sais que je vais me donner beaucoup de plaisir. Je retire mes doigts du fourreau chaud et gluant et les suce alternativement en m’imaginant qu’il s’agit de la verge de mon amant français. D’habitude, je n’apprécie pas trop cette caresse, mais je me souviens y avoir pris du plaisir lors de cette fameuse soirée, le champagne aidant. Au début, j’avais juste pris le sexe à peine ferme entre mes lèvres, puis, en le sentant durcir, je l’avais titillé, sucé, pompé sur toute sa longueur jusqu’à ce que je reçoive ses jets de sperme dans ma gorge, comme une offrande généreuse récompensant mes efforts. À cette évocation, mon ventre réclame à nouveau que l’on s’occupe de lui. Je me soulève pour prendre mon jouet préféré dans le meuble où je range habituellement mes sous-vêtements. Il s’agit, pour les connaisseuses, d’un Jack Rabbit composé d’une grosse tête rotative et ondulante et d’une plus petite, vibrante. Je m’installe confortablement dans la baignoire et baissant le niveau de l’eau pour que mon sexe affleure, j’enduis l’objet de gel lubrifiant. J’en profite pour en introduire un peu dans mon vagin. J’ouvre ...