1. Le club des nymphes - tome II (2)


    Datte: 05/11/2020, Catégories: Hétéro

    ... recevoir. Ses doigts ne mettent pas longtemps à venir traîner près de mon entrecuisse. Ma culotte est rapidement ôtée. Povin l’approche de son nez. — Humm… hume-t-il, je vois que tu es déjà prête. Je vais commencer à croire que je t’ai vraiment manqué. — Baisez-moi, s’il vous plaît, l’encouragé-je pour qu’il se dépêche. Je suis excitée depuis toute la matinée. J’ai hâte de me faire prendre. J’aurais préféré Thomas, mais le directeur fera l’affaire pour le moment. Et puis plus vite ce dernier me baise, plus vite je retrouverai mon homme. J’espère juste que j’aurai assez d’énergie et d’envie pour recommencer avec Thomas. Povin me pénètre rapidement et commence par de lents va-et-vient. Bien malgré moi je lâche un petit gémissement de plaisir. Très vite, ses mouvements se font plus rapides, trahissant ainsi son impatience. Il s’agrippe fermement à mes hanches et intensifie ses coups de boutoir. Je sens le plaisir m’envahir. C’est de Thomas que j’avais envie, et pourtant je suis là en train de me faire prendre par le directeur et je ressens véritablement du plaisir. J’ai l’irrationnel sentiment d’être en train de tromper en quelque sorte mon homme. Peut-être un résidu de mon ancienne morale. J’ai évolué très rapidement, et aujourd’hui je crois que je suis en train de perdre mes repères. Si j’ai changé, c’est aussi par amour. Je me suis engagée sur cette voie pour Thomas, et je crois que je commence à avoir peur d’aller trop loin et de me perdre. Pourvu que le directeur finisse ...
    ... vite, que j’aie le temps de retrouver Thomas pour mettre fin à mon malaise. Et puis Povin se retire et me demande de me retourner. Je devine ce que ça signifie ; je commence à bien le connaître et sais ce qu’il veut. C’est toujours la même chose avec lui. Et le voilà déjà en train d’agacer mon anus d’un doigt humide. — Pas besoin de me préparer, Monsieur ; allez-y directement. Je ne tiens pas à m’éterniser, et comme je commence à être habituée à la pratique, je me sens capable de le recevoir sans préliminaires. Mais j’ai peur d’avoir fait une erreur dès qu’il commence à s’introduire : c’est plus douloureux que ce à quoi je m’attendais alors j’essaye de me détendre et me laisse faire sans résistance. Povin, satisfait, s’introduit finalement en entier et commence à me ramoner le fondement. Cela fait mal, mais mon corps s’accommode rapidement, laissant peu à peu place au plaisir que je ressens habituellement. Me voilà une nouvelle fois à la merci de cet homme qui en profite pleinement. Il a mon cul offert et en prend pleine possession. Et moi, dans tout ça, je me régale bien plus que prévu ; j’ai peur d’être rassasiée après ce festin et de ne plus avoir d’appétit pour mon homme. C’est étrange ! Pourquoi apprécié-je autant me faire prendre par le directeur ? Il ne m’a jamais spécialement attirée et je n’ai pas vraiment choisi de coucher avec lui : j’ai juste accepté cette condition pour remplir mes objectifs. Je me suis donnée à un homme pour des intérêts pas du tout sexuels. Et ...
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