Le club des nymphes - tome II (2)
Datte: 05/11/2020,
Catégories:
Hétéro
... pourtant plus il me prend, plus j’aime cela. Quand j’y pense, je me sens un peu sale. Est-ce cela que je trouve euphorisant, si paradoxalement excitant ? Ou si c’était juste me faire prendre qui me plaisait, peu importe l’homme ? Qu’est-ce que cela fait de moi ? Est-ce normal de prendre autant de plaisir à se faire sodomiser par quelqu’un qu’on n’aime pas spécialement ? Je suis une nymphe ; je n’ai pas à être fidèle, je suis libre de coucher avec qui j’ai envie, mais suis-je censée prendre autant de plaisir, voire plus, avec d’autres hommes qu’avec le mien ? Tandis que je geins sous la cadence de plus en plus élevée que m’impose mon directeur, je ne peux m’empêcher de ressentir une pointe de culpabilité. Cela ne m’empêche pas de jouir au moment où je sens les jets de sperme jaillir dans mon fondement. — C’était très plaisant, Mademoiselle Leonne. Je garde votre culotte pour aujourd’hui. À la semaine prochaine. Malheureusement, mon passage dans le bureau du directeur a duré trop longtemps ; je n’ai donc pas d’autre choix que de me rendre tout de suite, après avoir fait un petit brin de toilette pour me donner une meilleure contenance, dans le prochain cours. Thomas m’accueille avec un sourire et me fait signe de venir m’asseoir à ses côtés. Mon cœur fait un petit bond en le voyant ; ouf, j’ai toujours autant envie de lui ! Je m’assieds et notre jeu recommence. Il est très surpris de me découvrir sans culotte et ...
... en est plutôt content. Plus qu’à attendre la pause de l’après-midi pour espérer mon corps-à-corps amoureux. Et si par malheur ça loupe encore, je serai obligée d’attendre ce soir, étant donné que j’ai une réunion avec le BDE juste après les cours. Je reçois à un moment un appel mais je l’ignore, étant donné que je suis en cours. Numéro inconnu. Si c’est important, il rappellera. Il rappelle justement au début de la pause. Pas de chance ! J’hésite à l’ignorer mais décroche quand même à contrecœur. — Oui, bonjour. Je suis bien sur le portable de Louise Leonne ? — Oui, c’est moi. — Je m’appelle Gérard Darme et je suis en train de fonder un nouveau foyer d’accueil pour les sans-abri. J’ai eu votre numéro par monsieur Bevens qui m’a parlé de vous… Et voilà, c’est parti pour un quart d’heure à parler de mon club, de son projet et d’éventuelles contributions que nous pourrions apporter. Nous convenons finalement d’un rendez-vous pour en discuter plus en détail. Mon corps-à-corps avec Thomas est encore reporté, mais au moins j’ai peut-être un nouveau partenariat. C’est le directeur qui va être content. Plus que deux heures de cours et une réunion avec le BDE et j’en aurai fini. Notre passe-temps avec Thomas reprend, mais j’essaye de me montrer plus assidue. Il faut dire que je n’ai pas été très sérieuse depuis ce matin et que par conséquent je n’ai pas retenu grand-chose. Il ne faudrait pas que je néglige mes études.