1. Le lac de Castillon


    Datte: 07/11/2020, Catégories: f, Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme campagne, bain, fh, intermast, plage, init, pénétratio, fffh,

    ... sacs à deux mètres de moi, me remerciant d’un sourire. Visiblement, deux étaient sœurs. Et la troisième, la plus âgée, aurait pu être leur cousine. J’appris plus tard que je ne m’étais pas trompé. Ce fut la plus jeune qui retint mon attention. Elle était époustouflante de beauté. Ses longs cheveux blonds entouraient un visage ovale, tout en délicatesse. Et ses yeux étaient deux flaques d’eau. Une porcelaine. Elle laissa glisser sa robe rouge, dévoilant un corps fin, blanc, que le hâle avait à peine commencé à dorer. Son maillot, rouge, lui aussi, soulignait ses formes. J’eus un début d’érection. Va falloir jouer serrer pour enfiler mon slip discrètement, me dis-je. Je retins mon souffle. La jeune fille glissa ses mains vers son maillot, une simple bande de tissu attachée de chaque côté par une ficelle. Et tournée vers moi, elle le fit descendre doucement sur ses anches. L’effet fut saisissant. Rien ne m’a jamais autant excité qu’une femme nue, ne portant qu’un soutien-gorge sur elle. Mais elle, c’était… Je n’ai pas de mots pour le dire. Mon cœur s’arrêta de battre une seconde, tandis que mon sexe se durcit. Je ne m’attendais pas à cela. Les trois compagnes se déshabillèrent et se retrouvèrent nues en un instant. Naïvement, j’avais pensé qu’elles allaient garder leur maillot. La plus jeune s’appuya sur sa cousine brièvement et levant le pied, retira totalement son maillot. Je voyais sa douce toison, presque invisible, recouvrant à peine son intimité. Ce n’était pas encore la ...
    ... mode de l’épilation en ce temps là et mes expériences amoureuses ne m’avaient pas préparé à cette vue incroyable. Son pubis se limitait à une petite bande verticale. Mon érection se fit encore plus grande. Je m’obligeai à respirer. J’essayai de masquer mon trouble, et, lui tournant le dos, je tentai de rouler sur le ventre sans qu’elle ne puisse voir mon érection. Je m’allongeai, leurs serviettes tournées vers moi. La tête posée sur mes avants bras, caché par mes lunettes, je pouvais donc les regarder toutes les trois, discrètement. Etrange sensation pour moi. Je n’avais jamais été nu ainsi. J’avais bien participé à deux ou trois bains de minuit, mais la lune drapait notre intimité d’un voile de pudeur. La sœur était belle, elle aussi, mais curieusement, je ne ressentis rien en la regardant. Pas plus que la cousine. Et pourtant, en temps normal, j’aurais tout donné pour posséder une des deux. Mes yeux ne quittaient pas la plus jeune. Ses seins étaient petits, mais fermes. Et les aréoles encore rosées de l’adolescence qu’elle avait quittée depuis peu. Je lui donnai dix-neuf ans. — Inge ! Inge ! Je n’avais pas vu les deux autres se diriger vers l’eau. Inge ! Joli prénom. Je savais comment elle s’appelait, bien que ça ne me servisse à rien. La belle répondit quelque chose (sa voix me parût cristalline) et je la vis serrer deux serviettes côte à côte et s’emparer de la troisième. Deux pas et elle fût près de moi. Son geste était clair. Elle me proposait la troisième serviette. ...
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