1. L'inconnue du bus (1)


    Datte: 08/11/2020, Catégories: Lesbienne

    ... chatte. La plateforme toujours bondée, personne n’a remarqué notre manège. Elle est tout contre moi et me sussurre : - Tu as la peau douce ma petite chatte. Impossible de répondre, les mots ne sortent pas et puis je suis trop curieuse de voir jusqu’où nous irons. Son majeur s’est infiltré entre mes lèvres qui ne demandent qu’à s’ouvrir. Elle glisse sur ma fente jusqu’à mon clitoris. Je l’entends feuler de satisfaction lorsqu’elle le décalotte. Moi, je vais défaillir de plaisir mais elle a passé son autre main sur la rambarde et son bras me retient. J’ai du gémir en jouissant car elle me dit “chuuuttt” en riant, contente d’elle. Elle retire sa main et après une tape sur mes fesses descend à l’arrêt suivant. Elle regarde partir le bus et machinalement je lui fais un au-revoir de la main. C’était vraiment bon, était-ce du à la surprise ou à son habileté? En tout cas ça m’a mise de bonne humeur. Difficile cependant d’en parler aux copines. Ni à ma mère, qui pourtant m’a encouragée à me masturber… Ce sera mon secret. La journée passe vite, je rêvasse et me fais souvent réprimander car je ne suis pas du tout à ce que je fais. oxvoeert Au lit j’ai du mal à m’endormir, tant j’essaye en vain de recréer les sensations offertes par cette main… Je ne réalise même pas que c’est celle d’une femme. Peu importe, c’est le plaisir qui compte! Le lendemain matin je suis doublement inquiète : inquiète de ne pas LA voir ce matin et peur qu’Elle m’ignore… Plusieurs jours passent avant de la ...
    ... revoir. J’ai même demandé à la receveuse si elle l’avait vue, ce qui l’a fait sourire. Enfin je La vois qui fait signe au conducteur. En montant elle a une hésitation en me voyant, mais mon sourire la détend. On se dit bonjour comme si nous étions de vieilles connaissances, sous le regard narquois de l’employée du bus. Peu à peu nous nous parlons, elle brise la glace en me demandant si j’avais aimé le dernier voyage. Mon sourire est mieux qu’une réponse. - Ecoute, me dit-elle, je termine tous les jours à 17h. Si tu veux on peut se voir après. Moi aussi et les parents ne rentrent pas avant 19h/19h30, alors je dis oui et “à cet après-midi”. Inutile de dire que la journée finie je prends mes jambes à mon cou et cavale jusqu’à son arrêt. Flûte! Je ne vois personne quand j’arrive. Est elle partie? Non, elle me fait signe d’un café où elle s’est réfugiée et me rejoint. Elle m’embrasse sur la joue et me prend la main. Mon cœur bat à 150 à l’heure. - Où allons nous? - Chez moi, à moins que tu préfères en rester là? Je meurs d’envie d’en savoir plus, bien sur. Chez elle, la porte à peine refermée, elle se jette sur moi et m’embrasse, sur la bouche cette fois, sa langue me fouille, aspire ma salive, joue avec la mienne. Ses mains sont partout, vingt fois elle me dit qu’elle a rêvé de moi depuis l’autre jour. J’arrive à avouer que moi aussi. Qu’elle s’est caressée en pensant à moi, moi aussi. Qu’elle a envie de connaître le goût de ma chatte, euh… Durant ces doux aveux, elle m’a entièrement ...