1. Le grenier


    Datte: 08/11/2020, Catégories: fh, campagne, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme conte,

    ... je bandais. Mon esprit et mon corps étaient perturbés et je ne pouvais contrôler les élans de mon sexe. Elle s’écarta et je constatais qu’elle prenait un malin plaisir à me chauffer les sens. Sur le hall de nuit, une porte menait au grenier. Elle me dit : « Venez, on visite le reste, je n’y suis jamais allée. — Oui, répondis-je. La toiture, c’est important la toiture ! » dis-je en reprenant mes esprits. Je la laissais monter mais sans cette fois regarder. Elle s’en aperçut et me dit : « Je vous trouble à ce point ? — Euh…» répondis-je. Je ne rajoutais rien. Arrivés en haut, je constatais qu’un immense bric-à-brac remplissait l’endroit : Vieille table, tapis usés, malles de voyage, bureau d’un autre âge, penderie et tête de lion s’amoncelaient dans tous les recoins de ce grenier. Il y faisait encore plus sombre qu’au rez-de-chaussée mais des rais d’intense lumière s’engouffraient par les tabatières qui garnissaient le bas du toit. « Où êtes-vous ? Martine ? ouh ouh… » Je la vis, la main appuyée sur une grosse poutre en chêne en train de soulever le couvercle d’une grande malle en bois. Trop lourd, le couvercle retomba et un nuage de poussière entoura Martine. Je m’approchais. Elle toussait un peu. « Vous ne vous êtes pas blessée ? — Non, Non. C’est rempli de plein de choses. Aidez-moi.» En se baissant, ses deux fesses vinrent toucher mon bas ventre. Je la pris par les hanches pour me retenir : « Ah oui !!! Comme cela. Continuez. J’en ai très envie Daniel. » Je descendais mes ...
    ... mains et touchais le haut de ses bas. Ils étaient soyeux et je remontais insensiblement mes mains sur la partie nue de ses cuisses. Leurs paumes glissaient doucement vers l’intérieur de son entrejambe. Sa peau était douce, humide de transpiration. La chaleur de l’été sans doute. Je m’agenouillais en continuant ma caresse et je l’entendis gémir doucement : « Encore, Encore… plus fort et plus loin.» Appuyant totalement son corps sur la poutre de bois, celui-ci prit une cambrure que ses escarpins accentuaient. Elle avait pris une position de soumission. Une de mes mains commençait à caresser son pubis, un de mes doigts glissant vers son clitoris. Il palpitait. Je le touchais à peine et je sentis qu’il quittait volontairement son petit repli en prenant une taille respectable. Un petit cri de contentement quitta la bouche de Martine : « Léchez-moi… doucement et longtemps » J’approchais ma bouche et elle écarta ses jambes. Une vision enchanteresse me remplissait d’ardeur : l’arrondi des fesses était superbe, la peau douce, l’odeur sauvage et doucement épicée… Une volupté phénoménale s’échappait de ce corps. Je titillais doucement de la pointe de ma langue ce bouton et il s’échappait une douce rosée des lèvres qui s’écartaient d’autant que je poussais loin ma caresse. « Encore…Encore… Plus fort et moins fort… Remontez votre doigt… » Je remontais et lubrifiais mon index en passant sur son sexe, ma langue suivait le même chemin et arrivé à sa rosette, elle susurra : « Oui… Comme cela… ...