Repos dominical
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
chaussures,
Oral
69,
fsodo,
jeu,
amourcach,
bourge,
... Lubriques ainsi. Il lui titillait les tétons, durs et pointés. Il prit la bouche de la femme aux mains croisées derrière la tête pour un profond et langoureux baiser. Au goût profond aussi, le goût du plaisir, le goût de la femme dans son animalité. Le goût sûr et âcre du plaisir qui mûrit. Baiser qu’il fit durer, en mélangeant les salives, le temps que le plaisir tombe un peu, qu’il interrompit quand il pensa que le feu était éteint. Une nouvelle caresse des seins, puis des aisselles, les feulements qui reprennent. — Vous n’êtes vraiment pas sérieuse, Hélène ! glissa-t-il sur un ton de reproche feint. Des soubresauts sur les accoudoirs du fauteuil, le corps qui dodeline, qui ondule, qui bouge. — Hélène ? Hélène ? Votre culotte ? J’ai l’impression qu’elle est mouillée !— Baisez-moi, Jérôme ! Baisez-moi vite, s’il-vous plaît. Vite et profond.— Hélène, il faut que je m’en assure. Absolument. La main dans la culotte. Qui n’était pas mouillée. Trempée, plutôt. Les doigts sur le clitoris, puis plus profondément dans le vagin. Que Jérôme mit ensuite à sa bouche. — Quel nectar, Hélène. Il faut absolument que je vous fasse goûter. Retour sur le clitoris, le vagin, la mouille, abondante. Dans la bouche d’Hélène cette fois-ci. Mains dans la culotte, trempée. Les deux mains. Dans la seule culotte, trempée. L’une devant, l’autre derrière. L’index qui s’amusait dans le sexe. Soupirs, puis feulements. Le pouce dans l’anus. Soyons plus directs. Dans le cul. Cris. Baiser pour calmer. Puis ...
... de nouveau mains dans la culotte. Les jambes qui convulsent, dans les bas, et dans les escarpins. Un nouveau baiser, pour se calmer. Au cours duquel Hélène lui retourne, par la bouche, le goût de ses propres intimités qu’elle avait bien en bouche. C’en est assez. Il aida Hélène à se redresser, puis à se lever du fauteuil. Il la plaça debout, devant sa vue mais dos au fauteuil, mains toujours croisées, yeux toujours bandés — C’est beau Hélène, si vous saviez. Il lui demanda de se pencher un peu en avant, autant qu’il lui était possible en restant « confortable » et en équilibre, et lui écarta les jambes, symétriquement. Il aimait la symétrie. Il pouvait ainsi, à loisir, passer sa main entre ses cuisses et caresser activement l’entrejambe. Il était aussi plus à son aise pour la goûter complètement, pour se la mettre en bouche, pour en parcourir la raie. — Hélène, c’est vous qui connaissez le mieux ce bureau, dans lequel vous devez, j’imagine, vous déplacer les yeux fermés, lui dit-il avec un sourire que son bandeau lui empêcha de percevoir. Alors choisissez et installez-vous comme vous le souhaitez, où vous le voulez. Je vous contemple. Il ne fut pas surpris de la voir rejoindre, avec des gestes choisis et lents, le centre de la pièce, vide de tout mobilier, pour s’y installer à même le sol sur la très épaisse, très chaude et très douce moquette. S’y installer sur les genoux, les mains appuyées sur le sol. En louve. Une louve en slip mouillé. Une louve habillée de bas et de ...