Double initiation - Histoires de Sexe

Double initiation

... car je suis attendue ailleurs mais avant de m’éclipser je vais te placer un de ces engins que j’ai découverts lors de ma première visite. Va me chercher un des plugs que possède ta Maîtresse. Je me relevai et me précipitai vers le tiroir du meuble pour rapporter rapidement l’objet souhaité. Nat l’examina puis me le tendit : — Suce si tu veux qu’il pénètre sans douleur. Je m’exécutai. Quand elle jugea que la pénétration allait être possible elle me fit reprendre la position. Un rapide toucher rectal et je sentis qu’elle introduisait le plug. — Ne te raidis pas, sois cool, il faut que tu y passes. Et d’un mouvement sec et fort, elle l’enfonça dans mon intimité. — Relève-toi. Tu vas le garder jusqu’à ton coucher, Karine me rendra compte. Tu vas ressentir à partir de cet instant les mêmes choses que la femme qui est forcée par son amant. Le moindre mouvement te fera penser à moi. Assieds-toi sur ce tabouret, tu vas me caresser pour me faire jouir. Tes mains sont réservées à mes seins, ta bouche à ma fente. Je t’accorde cinq minutes. Le contact avec le tabouret enfonça un peu plus le plug et me fit prendre conscience de ma position. J’étais devenu un objet de plaisir pour ma Maîtresse. Patricia releva sa mini-jupe, d’un geste preste, elle enleva son minuscule slip et s’avança vers moi. Mon sexe était plus que tendu. Je devais faire appel à toute ma volonté pour ne pas exploser. Une tape violente me ramena sur terre. — J’attends… Mes mains rentrèrent en action et pétrirent ...

... violemment la poitrine de la jeune femme. Ma bouche ne resta pas inactive et en peu de temps mes efforts furent récompensés. Maîtresse Patricia avait obtenu ce qu’elle désirait. Satisfaite, elle me releva la tête et vrillant son regard sur le mien, elle laissa échapper : — Très bien, très bien… pour te prouver ma reconnaissance, je t’ordonne de garder le plug jusqu’à demain matin, ainsi tu penseras plus longtemps à moi. En un éclair, elle se rhabilla, m’informa qu’elle reviendrait la semaine prochaine et quitta l’appartement. Je trouvais qu’elle avait vite appris ! Maîtresse Karine fut rapidement au courant de ce qui s’était passé. Elle me félicita puis m’imposa un temps de chasteté d’une semaine pour que j’oublie cet intermède. À la fin de cette période, elle retrouva un soumis « tout neuf ». Les jours s’écoulèrent. Karine restait toujours une Maîtresse exigeante que j’adulais. — À quatorze heures, tu iras chez Isabelle, tu te souviens, elle était venue boire l’apéritif. Tu lui rapporteras ce livre et ce tricot. Peut être voudra-t-elle passer un moment avec toi, tu obéis, elle sera mon égale durant ces instants. Je baissais les yeux et répondis : — Je ferai ce que vous me commandez, vous savez que vos désirs sont des ordres. À l’heure dite, je me présentais chez Isabelle. J’allais sonner quand la porte s’ouvrit brusquement, Maîtresse Isabelle devait être habitée par l’impatience car elle était vêtue en tout et pour tout d’un peignoir vert transparent qui la dénudait plus qu’il ne ...