1. Petits poèmes érotiques


    Datte: 11/11/2020, Catégories: f, fh, amour, volupté, Oral poésie, humour,

    Tendre fruit Juteuse corrosive Mon orange en moitié Ma jolie si lascive Prends ma bouche en pitié ! Tendre fruit chair pulpeuse Si fragile parfois Si sensible amoureuse Ta peau que j’entrevois. Tu seras dans ma bouche Comme un nectar des dieux À table sous la douche Un plaisir pour les yeux. Te croquer toute entière Comme un péché mignon Voir s’ouvrir pour me plaire Ta chair à l’abandon. Fille-femme Visage angélique et corps de déesse Dans son innocence elle est impudeur Et sa douce main cherche la caresse Dans son lit douillet comme une torpeur. Ni fille ni femme elle sait sourire Pour faire plaisir au jardin secret D’un homme trop vieux auquel elle aspire Perdre sa jeunesse avec un regret. Plaisir solitaire et bonheur coupable D’une fille pure encore une enfant Ignorant l’amour dont elle est capable Dans les bras offerts d’un futur amant. Coquine mutine et parfois trop belle Elle attend toujours son initiation Au plaisir à deux où l’odeur se mêle Où le corps devient centre d’attention. Manque d’expérience Tout près de cent degrés, Par-devant, il se dresse, Fier et jeune, membré, Assoiffé de tendresse. Dur, solide et vibrant, Doucement il s’approche, Il cherche en tâtonnant, Enfin il s’y accroche. Il poursuit son chemin, Trouve la route humide, Se retourne en câlin, Ne reste que le vide. Fuite dans le moteur, Fusion avec la route, Il y met plus d’ardeur, Il arrive sans doute. Désynchronisation, Un excès de vitesse, Un manque d’attention, Il faudrait la souplesse. Pour ...
    ... la prochaine fois, Car ici tout termine, Il n’avait pas le choix, Elle était trop divine Un jour pas comme les autres Nous serons ensemble en ce jour Où je te ferai la promesse De te donner un pur amour Jusqu’à ma tendre vieillesse. Nous pourrons alors partager, Main dans la main, la même chambre Et facilement soulager Tous les désirs de ton cher membre. Je serai tout feu, tout ardeur, Quand je verrai ta belle bouche S’oublier sur moi sans pudeur Pour qu’enfin, sur toi, je me couche. Et nous sombrerons dans l’oubli En voyageant dans l’autre monde Où il n’y a rien, rien qu’un cri Au moment même où il m’inonde. Je ris, je pleure, et c’est trop beau, Il faudra que je recommence, D’abord je lècherai ta peau En te chantant mon indécence. Tu me supplieras d’arrêter, Mais je possèderai ta langue Et je te verrai haleter Et je verrai ton corps qui tangue. Et puis il se réveillera Avec l’envie qui le démange, Alors il se retrouvera Dans une bouche qui le mange. Dans ce monde de sensations, Nous resterons, un jour, une heure, Jusqu’à ce que nous nous lassions, Jusqu’à ce que le désir meure. Nous nous coucherons pour dormir, Unis dans la même détente Après nous être fait frémir Bien au-delà de toute attente. À la fin de ce très beau jour Qui sera comme une caresse, Il ne restera, mon amour, Que notre éternelle jeunesse. Le sexe idéal Il se regarde le pénis, Se questionne sur sa mesure, Est-ce neuf pouces, mais pas dix, Sa bite n’est plus assez dure. Faut croire la publicité, L’homme ...
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