1. Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant


    Datte: 11/11/2020, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral jeu, confession, cocucont, h+prof,

    ... regarder, me touchant de temps en temps entre les cuisses ou effleurant mes seins comme une ingénue pour le maintenir en éveil. Le soleil était couché depuis longtemps quand il s’est reculé de deux pas, qu’il a jeté ses pinceaux sur une table et s’est assis. — J’ai terminé. On fait la suivante ?— La suivante ?— Oui. Tes fesses.— Tu crois ?— Oui. Pour ton mari.— Très bien. Je prends quelle pause ?— Eh bien, idéalement, tu retournes le fauteuil. Tu poses tes mains sur le dossier et tu te cambres un peu. Tu tournes légèrement la tête pour que je puisse voir ton profil.— C’est très osé…— Pas plus osé que d’écarter les cuisses.— Tu as raison, en effet. J’ai fait pivoter le fauteuil pour suivre ses directives. Une fois appuyée et les fesses relevées par ma cambrure, j’ai tourné la tête par-dessus mon épaule. La position n’était pas trop confortable. Son regard s’était fixé sur ma croupe. Il m’a demandé d’espacer un peu mes pieds, puis un peu encore. J’avais chaud, mais chaud ! Heureusement, il ne voyait pas mes seins durcis et mon ventre qui se gonflait et de dégonflait au rythme de ma respiration difficile. Je repensais à ma nuit d’amour avec mon mari, à ce qu’il me demandait de dire, aux sensations énormes que j’avais ressenties à ce moment-là. Et je dois l’avouer, je me suis mise à mouiller abondamment. Si Peyo avait essayé d’en profiter, je pense que je l’aurais laissé faire. Je l’aurais laissé poser ses mains sur moi, je l’aurais laissé m’enfiler sa queue, je l’aurais ...
    ... laissé me baiser brutalement. J’aurais réclamé qu’il jouisse en moi. J’ai fait le vide dans ma tête pour le laisser travailler, mais un simple effleurement de mon clitoris m’aurait probablement fait jouir à ce moment-là. — Terminé ! Plus d’une heure dans cette position, je ne tenais plus. Heureusement. — Je peux regarder ?— S’il te plaît. J’ai fait le tour des chevalets. Le buste était achevé, splendide de vérité. Il avait profondément modifié le gros plan de mon sexe. Une main écartait les lèvres pendant qu’une autre caressait mon clitoris, saillant. Il avait peint une scène particulièrement sensuelle de masturbation, dema masturbation. Pourtant je ne m’étais pas masturbée. Il avait juste imaginé. C’était splendide de sensualité. La toile où je suis enceinte était achevée elle aussi. Mes cuisses, mes jambes, mes pieds, tout était reproduit à la perfection. Mon ventre semblait plus gros, prêt à exploser. Mon sexe était gluant et imberbe, brillant. Mes lèvres intimes étaient cette fois distendues, comme si j’avais accouché plusieurs fois ou que je m’étais introduit un concombre. De voluptueuse, cette peinture était devenue obscène, divinement obscène. Sur la toile suivante, ce n’était pas une paire de fesses, mais un cul de femme. Un cul rebondi, légèrement tombant, plein. On distinguait très bien un sexe presque béant, brillant de sécrétions, et un anus violacé, dessiné de façon très précise. Un cul d’une femme mature qui attend de se faire prendre, qui réclame à son homme qu’il ...
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