Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
confession,
cocucont,
h+prof,
... s’avance la queue à la main pour la pénétrer. Un cul d’une femme gourmande, d’une femme avide de sexe. Il s’est approché de moi et m’a pris la main. Nous nous sommes retrouvés face à ses toiles, silencieux, partageant un moment de grande émotion. Après un moment… — Tu es allé très loin.— Ça va plaire à ton mari ?— C’est très osé.— Ce n’est pas ce qu’il voulait ?— Je ne sais pas ce qu’il veut, en réalité. Je me suis mise face à lui, sur la pointe des pieds, pour déposer un baiser chaste sur ses lèvres, en lui disant simplement « Merci ». Le contact de sa bouche fut divin. J’ai voulu recommencer, me lovant, nue, contre lui. Cette fois j’ai léché sa bouche, lui demandant un vrai baiser. Il m’a prise dans ses bras pour me serrer contre lui et m’embrasser cette fois avec fougue. Ne pas faire l’amour avec lui m’a demandé un effort, que j’ai consenti pour ne pas trahir mon vœu de fidélité et me prouver à moi-même que je pouvais résister à une pulsion. Les toiles sous le bras, je suis repartie, laissant à Peyo le goût de ma salive et la mémoire de mon corps. Quand j’ai ouvert la porte, mon mari m’attendait. Il a voulu voir tout de suite les toiles. Une à une il les a contemplées, dévorées des yeux. — C’est splendide ! Je ne trouve pas les mots…— Alors ne dis rien.— Il a peint tes fesses ?— Tu vois bien.— C’est un artiste.— Oui, un vrai.— Ce cul est magnifique !— C’est le mien.— Il est rond, charnu, offert.— Oui, tout ça.— On voit ton sexe aussi.— Oui. Du côté face, dis-je avec un ...
... sourire.— Tes lèvres sont ouvertes et mouillées. C’était son imaginaire ?— Non : j’étais trempée et ouverte.— Il en a profité ?— Pour regarder, oui.— C’est tout ?— C’est tout, oui.— Il a eu bien tort. Il n’avait pas envie ?— Toi, quand tu vois cette toile, ça te donne envie ?— Bah, terrible, oui. Tu veux vérifier ? Je bande comme un âne.— Il bandait aussi.— Tu as eu envie de lui ?— Oui, je dois l’avouer.— Une envie très forte ?— Oui. Une envie très forte. Mais il n’a rien tenté.— S’il avait tenté quelque chose, tu aurais fait quoi ?— La question ne se pose pas puisqu’il n’a rien tenté.— Réponds-moi quand même. Tu aurais fait quoi ?— Je pense que j’aurais aimé qu’il essaie. J’aurais aimé que ses gestes correspondent à sa peinture, qu’il me caresse de ses mains aussi bien qu’il m’avait caressée du regard.— Au moins, c’est sincère. Et toi, tu ne lui a rien proposé ?— Tu veux la vérité ?— S’il te plaît, oui.— Je me suis collée nue contre lui. Je l’ai embrassé sur la bouche. Je l’ai touché. Je l’ai laissé me toucher le dos et les seins, puis les fesses. Il m’a passé une main entre les cuisses. Il a bien vu que j’étais trempée. Il a même introduit le bout de son doigt dans ma vulve. J’étais bouillante. J’ai failli jouir.— Et après ?— Après, je me suis reculée, j’ai passé mes vêtements et je suis partie.— Comme ça…— Oui. Comme ça. Je l’ai embrassé une dernière fois avant de partir et j’ai caressé son sexe. Il était dur. Évidemment.— Pourquoi me dis-tu tout ça ?— Ça avait l’air de te ...