1. Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant


    Datte: 11/11/2020, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral jeu, confession, cocucont, h+prof,

    ... je continue de te parler de lui, c’est ça ?— Non ! De me baiser !— Il a tellement fantasmé sur ton ventre que quand il va le voir, tu vas y passer.— Arrête.— Non, j’arrête pas. Il va te baiser et tu vas aimer ça. Dis-le !— Ouiiiii, encore… Je vais aimer ça… Je jouiiiiis… J’y suis allée, dès le lendemain. Quand je l’ai appelé, Peyo a semblé surpris, puis ravi. Plus de chichis entre nous ; j’ai quitté mes vêtements devant lui à peine arrivée pour prendre place sur le fauteuil. Dans la même position que pour mes premières toiles, il voyait ce qu’il avait imaginé. En moins beau sans doute. Mon sexe était en effet totalement distendu. Et épilé. Mes seins, énormes, avaient doublé de volume. Je me sentais un peu bovine, mais ses yeux voyaient la perfection. Je suis restée ainsi près d’une heure. Le voir peindre relevait de l’immense, du sublime. Ses yeux virevoltaient entre sa toile et mon corps, ses yeux me transportant à chaque fois. Comme bercée, je me suis endormie. À mon réveil, Peyo était assis face à moi, sur une chaise. Les coudes sur les genoux et la tête dans les mains, il m’observait, comme envoûté. — Tu as bien dormi ?— Désolée, je suis partie toute seule. J’ai dormi longtemps ?— Une heure et demie.— Tu as terminé ?— Ma toile, oui. De t’admirer, non.— Tu es gentil.— Je suis gentil, mais j’ai terminé ma toile. Je ne suis pas peintre en ce moment. Je suis un homme qui te regarde nue.— Ce que tu vois te plaît ?— Énormément. Je n’ai pas réussi à tout mettre dans cette ...
    ... toile.— Il manque quoi ?— Une émotion que je n’arrive pas à traduire.— C’est-à-dire ?— J’ai un peu l’impression que l’enfant que tu portes est le mien. Ton couple était stérile et désabusé. Tu es venue, tu as posé. Et tu es enceinte. La dernière fois que tu es venue, il s’en est fallu de peu… J’aurais pu être le père de ton enfant.— C’est vrai : un instant, j’ai failli me donner à toi. L’ambiance y était pour beaucoup. Et avoir posé nue m’avait excitée ; mais c’est la raison qui l’a emporté.— C’est sans doute mieux comme ça.— En effet.— Je peux toucher ton ventre ?— Je t’en prie. Il s’est approché tout doucement, hésitant, fébrile. Sa main s’est posée à plat sur mon ventre rond, avant de me caresser tendrement. Il me transmettait une chaleur intense. J’ai fermé les yeux. Je me suis détendue. J’aurais pu dire stop quand sa main est remontée vers mes seins, mais j’avais envie qu’il les touche. Le ventre et les seins sont les stigmates indépassables de la grossesse, et c’était ma grossesse qui le captivait. J’aurais pu encore dire stop quand sa bouche s’est posée sur un téton pour le lécher, puis le mordiller. Sa langue et ses dents à l’œuvre m’ont fait perdre la tête au point que quand sa main est descendue entre mes cuisses, je les ai écartées plutôt que de l’en empêcher. J’étais trempée. Son souffle sur mon visage quand il s’apprêtait à m’embrasser sentait le café. Sa langue a cherché la mienne ; je n’ai pas refusé le combat. Ma vulve bouillante a accueilli ses doigts avec bonheur. ...
«12...121314...»