1. Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant


    Datte: 11/11/2020, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral jeu, confession, cocucont, h+prof,

    ... plaire que quelqu’un veuille me baiser. Ça t’aurait sans doute moins plu qu’il le fasse vraiment.— Et à toi, ça t’aurait plu ?— Je crois que oui. Mais je me serais sentie coupable. Je n’ai pas besoin de ça.— Tu vas le revoir ?— Après ce que je lui ai fait, j’en doute…— J’aimerais qu’il fasse un tableau de toi que l’on puisse exposer. Pas un nu.— Cette fois, il tentera sans doute quelque chose. Je ne sais pas si je pourrais résister une fois encore.— Je ne sais pas non plus. Prenons le risque. J’aime savoir qu’un homme te tourne autour et te veut. J’aime plus encore que tu le pousses à bout avant de t’éclipser. C’est terriblement érotique !— Et si je ne résiste pas ? Si je décide de me laisser faire ?— Eh bien, je crois que ça me plairait aussi. J’ai même très envie que tu te laisses faire. Ses derniers mots étaient devenus doux, alors que ses mains avaient entrepris d’explorer mon corps. Le feu m’avait envahi les entrailles avant que sa queue ne me prenne dans un élan animal. Sans même prendre le temps d’ôter ma culotte, j’ai senti ses doigts me fouiller et préparer le passage. Je me suis donnée comme une folle, réclamant ses coups de reins avec force, m’empalant comme jamais sur sa virilité. Nous avons fait l’amour comme des bêtes assoiffées de sexe, mêlant nos sueurs et nos baves. Le sperme abondant de mon mari m’a inondée plusieurs fois le vagin. Il s’est même aventuré à m’introduire des doigts dans l’anus, ce qu’il n’avait pas fait depuis des années, me provoquant un ...
    ... orgasme violent et douloureux. Notre seconde nuit d’amour. J’ai refusé les appels de Peyo, ne voulant pas tenter le diable. Il a fini par ne plus m’appeler, ayant sans doute compris que nous ne nous reverrions plus. Notre couple était à nouveau un paradis, où la tendresse le disputait au sexe. Pas une seule soirée sans câlin, suivi ou pas d’une folle nuit d’amour. Je ne pensais plus à Peyo ; je ne pensais qu’à mon bonheur retrouvé. Jusqu’à mon retard de règles, suivi d’un test positif de grossesse. Mon mari n’était finalement pas si stérile que ça. J’étais enceinte, et terriblement heureuse. Mon mari vivait sur un nuage, le même que le mien. À la rentrée scolaire, j’ai vu arriver Peyo, souriant, toujours affable, courtois mais un peu distant. Il m’a parlé de sa peinture, de son goût retrouvé pour l’art abstrait. Il s’est dit heureux pour moi de mon état, très visible déjà. Nous sommes allés boire un café, l’occasion pour moi de lui dire à quel point j’étais heureuse, et de m’excuser à nouveau de l’avoir planté. Quand j’ai raconté cette entrevue à mon mari, il a insisté pour que je demande à Peyo de poser à nouveau pour lui, enceinte pour de bon cette fois. Je n’ai pas très bien compris pourquoi il insistait tant. Il a continué de m’en parler alors que nous faisions l’amour, le soir même. — Cambre-toi encore un peu.— Je suis au maximum.— Ton cul, j’en peux plus tellement il est beau.— Hummmm…— Tu vas le montrer à ton peintre, hein ?— Arrête avec ça ! Continue, je vais jouir.— Que ...
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