Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
confession,
cocucont,
h+prof,
... plusieurs reprises il s’est trouvé au bord de l’extase. Ses couilles remontaient, tendues. J’arrêtais alors de le sucer pour reprendre de plus belle ensuite. Et j’ai bien dû me rendre à l’évidence : je n’avais pas vraiment envie de le faire jouir comme ça. Il l’a compris quand je me suis mise à genoux dans l’autre sens, l’invitant à me prendre par derrière. Plus confortable pour moi, cette position allait aussi lui permettre de prendre cette croupe qu’il avait si bien reproduite dans sa peinture ; il allait pouvoir investir cette grotte trempée et distendue qui lui tendait ses lèvres. Il m’a prise avec force, me tirant par les cheveux, me claquant les fesses quand il me bourrait. Je n’ai plus pensé à stopper. C’était trop tard. Il fallait que je boive le calice jusqu’à la lie ; quand il m’a demandé s’il devait se retirer pour jouir, j’ai poussé mon cul contre lui pour qu’il comprenne que je voulais le sentir jusqu’au bout, que je voulais sentir son sperme en moi ; il s’est est donné à cœur joie et m’a fait jouir comme une dingue. Pas de culpabilité. Aucune. Je suis restée encore un peu avec lui, comme on reste avec un ami. Sur la route du retour, j’ai appelé mon mari pour lui dire que je rentrais. À peine arrivée, il a voulu savoir. — C’était bien ?— Parfait.— Il a fait une nouvelle toile ?— Oui. Il n’a pas terminé. Tu la verras dans quelques jours.— Il a essayé d’en profiter ?— Oui. Il a essayé.— Tu as eu envie de lui ?— Oui. Terriblement.— Il t’a baisée ?— Tu veux ...
... vraiment savoir ?— Oui. Je veux savoir.— J’ai résisté. Pas longtemps. Je l’ai laissé me toucher. J’ai même réclamé qu’il me touche.— Et c’est allé plus loin ?— Oui. On ne pouvait pas aller plus loin.— Ça t’a plu ?— Énormément.— Tu as joui ?— Oui. Plusieurs fois.— Mieux qu’avec moi ?— Non, pas mieux. Mais très bien.— Pareil, alors !— On peut dire ça, oui. Pareil.— Et lui il a joui ?— Oh, que oui !— Dans un préservatif ?— Non.— Dans ta main ? Dans ta bouche ?— Non. Dans ma chatte. Tout au fond.— Oh la vache !— Comme tu dis. Ça te fait du mal ?— Oui. C’est douloureux. Mais ça m’excite aussi. C’est curieux.— J’ai encore envie… Mon mari et moi avons fait l’amour, tendrement. Il m’a fait remarquer que je sentais le sperme d’un autre ; ça l’a excité. Moi aussi. Je vais accoucher dans un mois. Depuis quelque temps, je suis devenue plus sage pour éviter tout problème ; mais depuis plusieurs mois, je suis retournée régulièrement poser pour Peyo. Il a fait des toiles magnifiques. Nous avons fait l’amour souvent après son travail, parfois avant, parfois pendant. J’ai pris mon pied à chaque fois, et lui aussi. J’aime mon mari plus que jamais ; j’aime faire l’amour avec lui ; j’aime que Peyo me baise. Je m’occupe du coup un peu moins de mes élèves ; mais après tout, on n’a qu’une vie ! Ma vie, ça a d’abord été celle d’une femme en mal d’enfant, délaissée progressivement par son mari. Puis celle d’une femme enceinte qui se lâche et dont le mari, finalement complice, la pousse à transgresser les ...