1. Quinze jours ailleurs


    Datte: 12/11/2020, Catégories: fh, fhh, plage, amour, massage, intermast, Oral pénétratio, fdanus, occasion,

    ... talons, il écarte les cuisses de la femme, les remontent pour une pénétration plus profonde. Il imprime une cadence régulière qui soulève le bassin de la femme, la fait haleter la bouche grande ouverte, la tête rejetée en arrière, tout son corps pris dans un mouvement de va-et-vient sur le lit et qui fait bouger celui-ci. Ses seins ballottent. Elle commence à ahaner sous l’effet conjugué des caresses intenses de Romain et du martelage de Mario. Le coulissage dure un long moment. Elle semble insatiable et pousse un râle à chaque coup de boutoir de la queue de Mario. Celui-ci sent qu’il ne peut tenir plus longtemps et lâche brusquement son sperme dans le ventre de Danièle puis se dégage. Danièle implore, réclame la suite, s’offre, cuisse et âme largement ouvertes. Très vite, Romain prend place. Il pointe son sexe contre l’ouverture du vagin. La main de Danièle tâtonne pour l’attraper et le guider. Quand elle le saisit, elle pousse un « Oh oui ! » d’intense satisfaction comme si elle attendait cela depuis longtemps : un gland d’une telle dimension. Elle le précipite à l’entrée de son ventre. Romain pousse un peu, accroît la pression, sent la résistance que lui offre l’ouverture étroite pour lui du sexe de la femme et d’une poussé lente la pénètre en douceur. La femme, comprenant qu’elle a affaire maintenant au type au gros gland de la photo de la revue, pousse une sorte de rugissement alors qu’il la force enfin, s’enfonce en elle. Elle sent le gland se frayer progressivement un ...
    ... chemin dans sa chair, l’écarter, l’emplir peu à peu tandis qu’elle se referme sur lui, déclenchant une onde violente de plaisir dans tout son corps, onde qu’elle n’avait jamais ressentie jusqu’alors. Elle dégouline de lubrifiant et se met à transpirer abondamment. Elle râle. Lui, pousse jusqu’au tréfonds avec une force à laquelle elle consent tout à fait, qu’elle réclame. Après l’aller, le retour. Il sent autour de son sexe dur la fermeté des chairs baisées. Avec toute la lenteur et la douceur nécessaire, il commence un martelage lent qui la fait râler à chaque allée et venue et qui lui permet de faire son passage. Bientôt elle n’est plus qu’un long rugissement puissant, qu’un ventre, qu’un sexe déchaîné. Jamais elle n’a été ainsi parcourue, bourrée, pleine à craquer de la sorte. Quand il l’emplit, elle soulève son abdomen et le projette au-devant du sexe de l’homme pour qu’il la laboure jusqu’au fond. Peu à peu il accélère, déclenche une houle qui la saisit et qui enfle encore davantage quand il lâche les chevaux de ses reins. Il accélère et lance une sorte de sprint infernal. Elle pousse de violents cris, ses belles jambes se soulèvent et battent l’air avant d’enserrer le dos de l’homme pour une chevauchée sauvage alors que son bassin se cabre en coups de reins désordonnés et furieux. Quand le type s’effondre sur elle en lâchant en elle de longs jets de sperme et en rugissant à son tour, elle a un hurlement qui accompagne le spasme violent de tout son vagin. Elle gît sur le ...