Quinze jours ailleurs
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
plage,
amour,
massage,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
occasion,
... lit depuis plusieurs minutes, inanimée, sans force, vidée maintenant, inondée de sueur, les cuisses encore écartées et le sexe béant. Elle n’a jamais été baisée de la sorte. Mario se penche vers elle et lui murmure à l’oreille : — Ma vengeance t’a plu ? Elle sourit et acquiesce de la tête. — Excusez-nous pour l’éjaculation, mais c’était si fort, fait Romain.— Au contraire, réussit à murmurer Danièle. Après un temps elle reprend : — J’aime quand les hommes explosent en moi. Vous, vous aimez bien qu’une femme le fasse au bout de votre queue ! Et elle pense déjà qu’elle fera tout pour revoir Romain. Le retour de Gérard mit fin à cet intermède dans lequel beaucoup de choses avaient changé pour elle. Elle avait abusé copieusement de son corps, avait connu en quelques jours plus d’émotion et de plaisir que durant toute sa vie passée et tout naturellement ce corps merveilleusement sollicité avait épuisé pour un moment sa réserve de désirs. Il aspirait au repos, ses sens s’étaient taris momentanément, du moins jusqu’au moment où l’abstinence ferait lentement son œuvre et se muerait en nouveau besoin. On ne peut pas dire que Danièle prît subitement conscience de la convoitise qu’elle provoquait chez les hommes. Elle le savait depuis longtemps et cela la gênait plus qu’autre chose. Son aventure de l’institut, qui date maintenant de plusieurs semaines, a modifié ce sentiment. Elle s’aperçoit que, dans certaines circonstances, les marques de désirs, qu’elle devine aisément dans le ...
... regard de beaucoup de types, ne lui déplaisent pas bien au contraire. Elle les prend comme un hommage à sa beauté, à la perfection de son corps, beauté et perfection dont elle n’a jamais vraiment profité avant cette aventure. Le soir de son retour son mari a voulu la baiser. Elle s’est laissé faire. L’absence de plaisir n’a pourtant provoqué aucun déplaisir chez elle. De fait elle aime bien, bien davantage qu’autrefois, elle s’en rend compte, qu’un type, fut-ce son mari, la déshabille, la tète, la pelote, extériorise son désir, dresse vers elle ce pieux de chair impatient, l’introduise en elle, pour ensuite se lancer enfin dans cette espèce de chevauchée ahanante, jusqu’à ce qu’il s’écroule sur elle après avoir lâché son sperme. Cette douceur active et fiévreuse de l’amour lui suffit pour qu’elle accepte ce défoulement même si elle reste en panne. Toutefois elle ne voulu pas aller contre la nature et le repos que son corps réclamait depuis son aventure. Subitement, un soir, elle décida de faire chambre à part en prétextant que Gérard ronflait trop. Comme celui-ci s’inquiétait elle l’embrassa sur la bouche et lui dit : — Ne te fais pas de soucis, je dors mal en ce moment, peut-être que seule, ça me passera. Elle a donc repris une vie sage et sans fantaisie, partagée entre le travail et la maison. Le soir, après le repas, ils regardent la télé. Lui surtout. Elle se lasse rapidement de ce spectacle prémâché. Presque chaque soir elle rejoint rapidement sa chambre pour ouvrir un livre. ...