1. Une chaude journée d'été


    Datte: 28/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    L’histoire que je vais vous raconter mêle le fantasme à la réalité. Elle s’est déroulée par une chaude journée de cet été qui s’achève, quelque part entre une petite crique de la côte ouest du pays, et les recoins les plus inavouables de mon esprit. Ce jour-là, comme souvent à cette période de l’année, je me prélassais sur la plage, les seins nus et le corps enduit d’huile solaire de sorte qu’il luisait sous les assauts gourmands du soleil. La plage en question est assez reculée, et par conséquent peu fréquentée. Quelle ne fut pas ma surprise, moi qui suis habituée à la seule compagnie des mouettes sur cette crique abandonnée, lorsque je vis un groupe de six jeunes hommes, à vue de nez d’une quinzaine d’année mes cadets, débarquer avec ballon de volley ball et filet sous le bras. Tout en installant leur terrain de jeu, ces jeunes damoiseaux ne se privèrent pas pour se rincer l’œil, ce qui suscita en moi un curieux mélange de gêne et de fierté. Ma première réaction fut de cacher timidement le bout de mes seins avec mes mains. Puis, cédant à une pulsion exhibitionniste, je libérai mon énorme poitrine et accentuai ma cambrure afin d’offrir au soleil mes tétons tendus par l’excitation de me sentir ainsi épiée. Pour tout vous dire, l’un de ces jeunes hommes m’avait tapé dans l’œil. Il devait avoir entre vingt et vingt-cinq ans et je ne pouvais m’empêcher d’admirer son corps à la ligne svelte, sa peau bronzée par de longues heures passées en plein soleil, ses muscles secs bandés ...
    ... sous l’effort déployé au jeu et son visage aux traits fins, presque androgynes, surmonté d’une chevelure brune dégradée à blanc sur la nuque. Mes regards appuyés ne passèrent bien sûr pas inaperçus, puisque tous leurs regards étaient rivés sur moi dès que la balle n’était plus en jeu. Amusée, je fermai les yeux et me laissai aller à la fantasmagorie. Alors, dans mes songes, ce jeune homme qui avait retenu mon attention vint à ma rencontre. Il me gratifia d’un très cordial « Bonjour, Madame. » Mais je savais que sa politesse n’était que superficielle, et que dans sa tête il m’avait déjà souillée et fait subir mille sévices. Sans même attendre de réponse de ma part, il s’allongea à mes côtés, m’enlaça par la taille et, me serrant jusqu’à presser ma poitrine sur son torse, posa ses lèvres sur les miennes. La moiteur de nos corps respectifs en proie aux assauts du soleil sublimait le contact charnel : j’étais en ébullition. « J’ai bien vu vos regards appuyés, et je pense être en mesure de satisfaire vos désirs. » Devant mon regard interloqué, il poursuivit sans même me laisser en placer une : « Cependant, il faudra vous montrer très obéissante car mes faveurs se méritent. » Hébétée, incapable d’articuler le moindre mot, je fis oui de la tête. Un sourire satisfait s’imprima sur son visage. « Parfait. » dit-il, avant de relâcher l’étreinte de ses bras autour de ma taille et de me repousser sur la serviette de plage. Il pinça mes tétons entre index et majeur. Et les tira sans relâcher ...
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