1. Une chaude journée d'été


    Datte: 28/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... chatte. Et pour cause : j’étais trempée d’excitation, et son sexe était parfaitement lubrifié de ma salive. Incapable de me relever sans mes bras, j’étais contrainte de me laisser manipuler comme une vulgaire poupée gonflable. Il me fit relever les fesses et commença à me prendre en levrette. Comme prévu, ses coups de butoir témoignaient de sa jeunesse et de sa vigueur, ils étaient même bien au dessus de ce que je m’étais imaginée, et il ne tarda pas à m’arracher de puissants cris de plaisir qu’il ponctuait à chaque fois d’une grande claque sur mon cul bien cambré et offert à sa volonté. Ma tête était posée sur la serviette, de sorte que je ne mange pas de sable, mais ma poitrine, elle, était écrasée contre le sable et mes tétons rendus solides par l’excitation s’enfonçaient dedans. J’étais sur le point de jouir, lorsqu’il s’arrêta brutalement pour se tourner vers ses amis. Il siffla et lança sur un ton joyeux : « Eh les gars, c’est bon venez, je l’ai chauffée ! » Il s’allongea sur le sable et me fit monter sur lui pour venir m’empaler sur son sexe. Il me serra contre lui de sorte que mes seins étaient comprimés contre son torse musclé, puis m’empoigna les fesses à deux mains et recommença à me pilonner. Transcendée de plaisir, j’entendais des voix tout autour de moi sans parvenir à les situer précisément dans l’espace, ainsi que des bruits de masturbation masculine. Le jeune homme tenait mes fesses d’une poigne de fer, au point d’y enfoncer ses ongles. Tout à coup, il les ...
    ... écarta et je sentis un autre gland contre mon anus. Il chatouilla quelques instants à l’entrée de mon fondement, avant de s’y forcer sans plus de difficultés que celui qui était déjà dans ma chatte. Je balbutiais mécaniquement : « Oui ! » « Encore ! » « Pitié ! » Puis, mon deuxième assaillant, celui qui était derrière moi, attrapa mes bras et me redressa le haut du corps à la verticale. C’est alors qu’un troisième jeune homme vint forcer sa bite dans ma gorge. J’avais un étalon dans chaque orifice, et ceux qui n’avaient pas la chance de me baiser, se branlaient en me pinçant, en me fessant, en me giflant, et en riant de bon cœur. Alors, on me détacha les bras, et deux des autres garçons présentèrent leurs sexes de part et d’autre. Je compris aussitôt ce que je devais faire, et je commençai à les branler avec ardeur. Puis, les râles commencèrent à retentir, et je sentis ma bouche, mon cul, ma chatte s’emplir en chœur de sperme chaud. C’en était trop pour moi, me sentir ainsi remplie de toutes part me fit jouir comme jamais. Je hurlais, je tremblais, je convulsais. Alors on m’allongea sur la serviette, les yeux mi-clos, et les trois autres jeunes hommes qui n’avaient pu me pénétrer vinrent se finir sur ma poitrine. Lorsque j’ouvris les yeux, j’avais toujours mon bas de maillot, et il n’y avait pas une goutte de sperme, ni en moi, ni sur ma poitrine. Pourtant, le bout de mes seins était tendu vers le ciel par l’excitation, et mon bas de maillot était trempé. Avant même que j’aie ...