1. RECIT D'UN COCU - RETOUR A PARIS (1)


    Datte: 18/10/2017, Catégories: Divers,

    Du temps s’était écoulé depuis notre séjour au Maroc. Ma chérie Julie n’était plus la même, et moi non plus. Sa rencontre avec une gigantesque et puissante bite black avait tout changé. Mais je m’étais fait à cette aventure qu’avait désormais Julie avec Driss... De retour à Paris, nous avions essayé de reprendre une vie de couple normale mais je savais qu’elle continuait à le voir de temps en temps quand il passait sur Paris. Nous n’avions jamais vraiment évoqué le sujet avec Julie mais je savais qu’elle continuait à baiser avec lui. Ils ne faisaient pas particulièrement des efforts de discrétion mais j’essayais d’éviter de croiser Driss. Parfois, je rentrais à la maison après le boulot et je l’entendais sefaire baiser à l’étage. Je ne disais rien et me faisait tout petit pour ne pas les déranger. Je pouvais baiser de temps en temps avec Julie mais elle trouvait ça terne, morne et rapide dorénavant. Elle lisait même des magazines pendant que je la baisais alors que je donnais tout. Elle me demandait d’aller plus loin alors que j’étais déjà au maximum de mes 15 centimètres. Je n’étais rien à côté de mon maitre Driss et je ne pouvais rien y faire. Elle disait qu’elle m’aimait quand même mais que son autre amour était la bite de Driss, et qu’à choisir entre les deux elle choisirait la belle queue noire. Il arrivait même qu’elle refuse de coucher avec moi pendant un moment juste parce que Driss lui avait interdit de baiser avec moi pendant une période, comme ça, sans raison. Il ...
    ... menait notre couple à la baguette. Un beau jour de printemps, j’étais revenu plus tôt à la maison, en plein milieu de l’après-midi. J’ouvris la porte d’entrée et tomba sur Driss qui baisait ma copine sur le canapé du salon. Debout mais penchée en avant, prenant appui sur l’accoudoir du canapé, elle se faisait prendre la chatte comme une grosse salope. Elle gémissait de plaisir. Ils n’avaient même pas fait attention à moi et continuaient tranquillement. Au lieu d’aller vite me cacher pour les observer, je resta en admiration devant la puissance sexuelle de son amant black. Ma copine semblait prendre tellement de plaisir grâce à cette belle bite puissante. Driss finit par me remarquer, debout devant la porte d’entrée, à les regarder avec un sourire béat qui trahissait à la fois mon envie et mon admiration. J’étais cocu, soumis à unegrosse bite de black, et heureux. Alors qu’il continuait de baiser ma copine en levrette, il me fit signe de m’approcher de la main. Je me mis alors instinctivement à quatre pattes, comme un bon chien soumis, et m’avança vers lui. Il me prit la tête et la colla à la fesses de Julie, à quelques centimètres de sa grosse bite qui faisait des allers-retours dans la chatte humide de ma copine. — Regarde bien Médor, fais toi plaisir. Julie comprit que j’étais là, et au milieu de son bonheur, réussit à me glisser sans se retourner : — Oh t’es là mon chéri? — Oui, répondis-je en ravalant masalive. — T’aimes la vue? — Oui beaucoup. Driss se mit à aller encore ...
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