1. RECIT D'UN COCU - RETOUR A PARIS (1)


    Datte: 18/10/2017, Catégories: Divers,

    ... plus vite et plus fort. Julie finit par avoir un orgasme magistral qui dut s’entendre dans toute la rue. Driss se retira doucement, sa queue paraissait interminable. Julie s’effondra à plat ventre sur le canapé, aux anges. Driss alla s’assoir à côté de la tête de Julie. — Tu sais ce que j’aime Médor? Me faire sucer après donné un orgasme à ta chérie d’amour. Mais là elle parait tellement épuisé qu’elle va avoir du mal je crois. Julie pouffa de rire. Je compris ce que je devais faire. Driss roula une belle pelle à Julie tandis que je marchais à quatre pattes vers eux. J’arrivais devant les jambes ouvertes de Driss, où trônait fièrement sa grosse bite toujours bien dressée. Je regarda Julie qui était encore en transe de son orgasme, mais était contente et fière de ce que j’allais faire. Je regarda mon maitre Driss qui m’indiqua du regard qu’il était temps de commencer le travail. Je n’étais plus que son chien, son esclave, qui devait lui obéir sans discuter. Je saisis alors son énorme bite dans ma main gauche. Je n’arrivais même pas à en faire le tour. J’approchais son gland gluant vers ma bouche. Je le regarda une dernière fois et devant son regard autoritaire, j’ouvris la bouche en grand et engloba son gland, qui avait du mal à rentrer en entier. Julie eut un grand sourire en voyant ça. Je fus agréablement surpris par le goût qui n’était pas trop déplaisant. Je passa des coups de langues comme si je lui roulais une pelle, tout en commençant à lebranler avec ma main. Driss ...
    ... commença à sourire à son tour. Il m’avait totalement soumis et savourait sa victoire. — C’est bien mon Médor, tu te débrouilles comme un chef. Je tentais d’aller le plus loin possible dans ma gorge avec sa bite mais elle était tellement énorme que c’était quasiment impossible. Pourtant je réessayais en allant un peu plus loin à chaque fois pour faire plaisir à mon maitre. Je le branlais maintenant à deux mains en montant et descendant ma tête en rythme. J’évitais de lui faire cogner mes dents car je savais que ce n’était pas agréable. J’étais un bon esclave blanc bien soumis à son maitre black. De temps en temps j’enlevais son pénis de ma bouche pour remonter le long de sa verge énorme en le léchant tout le long, puis je lui léchai le gland comme on lécherait une glace au chocolat avec gourmandise. Je donnais tout ce que j’avais. Je n’existais plus que pour satisfaire cette énorme bite black avide de sexe. Pendant ce temps, Driss et Julie s’embrassaient et rigolaient devant la situation : le cocu s’appliquait avec amour à faire une pipe à l’amant black de sa copine, en sa présence. — Je crois que c’est le moment parfait pour lui annoncer la grande nouvelle chérie ! lança soudainement Driss. Je m’arrêta un instant de faire ma fellation de derrière les fagots pour lever mon regard vers mon maitre et ma copine. Julie me regarda avec amusement et tendresse. Elle me dit de sa voix douce : — Mon chéri, je suis enceinte ! Dit-elle en se touchant le ventre qui n’avait pas encore ...