1. La plage de tous les fantasmes


    Datte: 15/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... elle, et Candice l’a récupérée.La jeune fille entend ses parents faire l’amour dans la chambre d’à côté. Elle a l’habitude : sa mère a des orgasmes qui sont toujours sonores. Souvent, ils se servent d’un vibromasseur ou de différents sextoys, et ne sont repus qu’au bout d’une heure de galipettes, au moins. Candice a l’habitude de sa masturber en les écoutant s’aimer, en pensant à Quentin. Elle est fille unique, ce qui lui permet, même en vacances, de se garder une pièce pour elle seule, alors que son copain doit partager sa chambre avec ses deux frères. Quelquefois, elle aurait aimé emprunter l’un des jouets de joie de sa maman, pour éprouver ne serait-ce qu’une fois leur pouvoir orgasmique. Mais elle n’a jamais osé lui demander.La revue d’Alicia est remplie de photos pornos lesbiennes, accompagnées de textes obscènes. Les histoires que cela raconte sont centrées sur le bondage, la domination entre femmes, le sadomasochisme. Elle avait déjà aperçu de telles pratiques sur Internet, mais cela ne l’avait pas particulièrement attirée. Avec ces images, elle est troublée, et au cours de sa masturbation, elle centre son imagination érotique sur ce thème. Elle qui est si pudique, elle voudrait être l’attachée, celle que l’on humilie publiquement, que l’on avilit avant de la faire jouir. Pourtant, elle n’a jamais eu le fantasme du viol, contrairement à son amie Émilie, celle avec qui elle ose tout dire, et qui lui a raconté avoir participé à des gang bangs avec des copains de lycée, ...
    ... et même des collègues de travail de son père, offerte nue et ligotée sur la table familiale, et Candice a écouté avec effroi le récit de torrents de sperme déversés dans tous les orifices d’Émilie qui en redemandait, avide de ces folies sexuelles qui duraient toute une nuit.Candice se regarde dans le miroir. À cause de la touffeur ambiante, dans la pénombre de sa chambre dont les volets presque clos ne laissaient passer qu’un simple rai de lumière, elle n’avait gardé qu’une petite culotte. Voilà qu’elle retire ce dernier vêtement pour se regarder nue dans le grand miroir de l’armoire. Debout, elle étend ses bras à l’horizontale, s’imaginant crucifiée, transpercée aux poignets et aux pieds. Oui, crucifiée, mais par des femmes !Puis elle écarte les pétales de sa fleur génitale entre deux doigts. Le sexe parfaitement épilé depuis le matin, à la cire. Sous les bras, aussi. Elle a souffert en s’arrachant jusqu’au moindre petit poil. Elle a eu mal en pensant à lui, le garçon qui l’attend, et en a éprouvé une étrange satisfaction, celle de dompter son corps en acceptant la douleur qui se transformait en une étrange volupté.Elle continue l’examen détaillé de son corps juvénile. Les seins ronds et pointus, qu’apprécie cette étrange personne qu’elle a rencontrée le matin sur la plage. Va-t-elle appeler son numéro dans la nuit ? Candice hésite, et sait qu’elle restera indécise jusqu’au dernier moment. Elle desserre ses jambes, s’assoit sur le rebord du lit, grand écart permis par douze ...
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