1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (32)


    Datte: 15/11/2020, Catégories: Transexuels

    ... du doigt. Elle me regarde avec son air renfrogné, celui qui me fait à chaque fois craquer. — Tu m’attends là, j’en ai pour deux minutes (je ne vous dirais pas où je vais, surprise). À mon retour, elle me prend par la main et m’entraîne en face dans un bar. Elle m’explique que c’est celui un ami d’Emile. Effectivement, on est accueilli comme deux princesses. Le patron fait la bise à Malika. Il se tourne vers moi et dans un français parfait, sans accent et me dit : — Toi, tu es la petite Vanessa, la petite dernière d’Emile. Je me trompe ? — Non, non... Il se jette sur moi pour faire la bise. Il respire la sympathie et la bonne humeur. Physiquement quelconque, donc je passerai sa description. — Michel, Mich, pour les amis. Ici, vous êtes chez vous. Que voulez-vous boire ? Le ventre de Malika gargouille. — Ah, ça va, je vous fais porter la carte... Dit-il en se marrant. Normalement nous ne servons pas à cette heure-ci, mais j’entends qu’il y a urgence. Mettez-vous à l’intérieur, c’est climatisé et vous y serez plus tranquille. Une fois à l’intérieur, je fouille dans ma pochette, je prends la main de Malika et la regarde dans les yeux. — Veux-tu être ma femme ? — Je t’ai déjà répondu. Oui, je veux être ta... Je ne la laisse pas finir et je lui passe une bague surmontée d’un diamant (la surprise). Elle regarde la bague et me saute au cou. Elle m’embrasse et renverse la carafe d’eau. Le patron est mort de rire. — Je vais devenir sa femme... Murmure-t-elle. — Et bé, tu en as de la ...
    ... chance, petite, c’est pas à moi que cela arriverait... Répond-il en nettoyant les dégâts. Mes félicitations les filles... Champagne ? — Oui, fis-je, et votre meilleur ! ! ! On boit, on mange, on rigole avec le patron qui nous sert. Malika n’a d’yeux que pour moi... et sa bague. Après un digestif, le patron nous demande où nous allons. Je lui dis que j’irai bien me baigner. Il nous indique une crique connue que par les autochtones, difficile d’accès et que l’intimité des couples y était préservée. Il rajoute qu’à cette heure-ci, on devrait être seul, les gens n’y vont que très tard le soir pour échapper au brouhaha de la ville. On le remercie et après avoir acheté serviettes et ambre solaire, nous voici en route. Un petit quart d’heure plus tard, je gare la Ferrari sur le parking d’une paillote. En suivant les indications de Mich et moult fous rires, on trouve enfin la minuscule anse. Il y a assez de sable pour y étendre nos serviettes, pas plus. On se met nue et on plonge dans la grande bleue. Ça fait un bien fou. On s’enlace, on s’embrasse. Je suis bien avec ma petite bernicle accrochée à moi comme à son rocher. Elle se blottit dans mon coup et me lèche le cou. Je lui caresse le crane (il va falloir que je parle à Émile pour notre coupe de cheveux), le dos, les fesses. Sa peau est soyeuse comme du satin (c’est pour éviter la répétions). Évidemment je bande et elle le sait, mais elle ne veut pas de sexe sinon elle se serait emboîtée depuis longtemps. Non, elle veut profiter de ...