1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (32)


    Datte: 15/11/2020, Catégories: Transexuels

    ... notre moment à deux, ma panthère sait se transformer en chatte. J’apprécie ce moment de plénitude. — Vanessa, je t’aime... Merci pour tout... — Chut, profites, on n’est pas bien là... — Si, je me sens en sécurité dans tes bras. Ta présence me rassure... Elle me regarde et on s’embrasse comme deux tourtereaux, comme deux amoureux profitants de l’instant qui leur est offert. On est de retour à la maison. Comme mari et femme, on prend notre douche, mis à part nos ablutions les plus intimes. On se savonne amoureusement, tendrement. Aucun mot n’est échangé, juste le regard de l’autre suffit. Comme tout à l’heure à la plage, on s’étreint, se caresse, se bécote, mais sans sexe. Mais j’en peux plus, j’ai envie d’elle, de profiter de son corps tant que l’on est que deux. Je la prends par les fesses, la plaque contre la cloison vitrée et glisse mon sexe dans le sien. — Putain, Vanessa, tu en as mis du temps... J’en pouvais plus... Hummm... — Quoi ? T’as envie de ma queue ? — OUIIIII... Je vais devenir ta femme, ta putain exclusive, ta chienne... Et toi ma salope, mon sexe sur pattes... Prends-moi, baise-moi... Alors là, je reste sur le cul, mais je la prends avec force. Sa peau crisse sur la paroi, mes couilles claquent sur son cul. Elle gémit, au début, mais bien vite elle crie et m’inonde d’injure plus salaces les unes que les autres. L’odeur qu’elle émane m’enivre. Je lui pétris les fesses. Elle ça, être prise de force, non, avec force. La tête en arrière et les yeux révulsés, ...
    ... elle jouit, tout comme moi. De la voir dans cet état est un pur bonheur pour moi. Elle me sourit entre deux râles. Je ne m’arrête pas de la limer, de la défoncer, car oui c’est le juste mot, je la défonce, la saillit. Mon pré-sperme inonde sa matrice et c’est bientôt un torrent de semence qui remplit son antre. Elle n’est plus là, moi non plus d’ailleurs. Mes jambes me lâchent et on choit sur le carrelage de la douche, elle, toujours fichée sur ma bite. Elle, on reprend nos esprits. — Merci amour, ouf, qu’est-ce que tu m’as mis... — Qu’est-ce que tu m’as donné... Ouf. Terrible. — Je t’aime comme une folle. J’aime comment tu me traites... — Comment ça ? ? ? — Tu es gentille avec moi, tu me respectes. Je vois, on voit très bien que tu tiens à moi, tout comme moi je tiens à toi. Tu me mets au-dessus de tes deux autres maîtresses. Tu m’aimes et cela me réchauffe le cœur. Quand j’étais seule à Montpellier, Émile n’était pas souvent là, seul Domi, Caro et David me rendaient quelques rares visites. Me gouiner avec les deux vieilles me comblaient et David me prenait de temps en temps, mais quand j’ai vu ta photo... — Ce que tu me dis me touche, mais saches que je te serais toujours fidèle, quoi qu’il arrive. Je ne regrette plus ma vie d’avant et en reprenant ta réflexion, quelle nana sera assez conne pour refuser la vie que tu m’as offerte, en tout les cas pas moi. J’aime ma famille, j’aime Émile, et toi par-dessus tout. Maintenant je vais te le prouver. Tant bien que mal, je me relève ...