1. Natasha & Franck (9)


    Datte: 15/11/2020, Catégories: Transexuels

    ... températures étant devenues bien plus clémentes, les filles commençaient à ressortir les robes. Elles leur permettaient des petits jeux exhibitionnistes lorsque nous déambulions dans les rues. Elles aimaient particulièrement offrir à mes yeux les courbes de leurs fesses. Ce n’était pas comme si je ne les voyais jamais, cependant, au détour d’une ruelle peu fréquentée, elles avaient un tout autre charme. Natasha adorait encore plus quand, au milieu de la foule fréquentant les bars, je passais ma main sous sa robe. Un soir, plus excités que d’accoutumée, alors qu’elle était en pleine discussion avec une inconditionnelle d’Iron Maiden, j’entreprenais de la perturber discrètement. Le bar, vraiment exigüe, était bondé. J’étais assis en bout de banquette et Natasha était debout, juste à coté de moi. Ses fesses étaient au niveau de mon épaule. Je me serrais un peu plus contre elle et glissais une main entre ses jambes. Je remontais doucement, suivant l’intérieur de sa cuisse, jusqu’à atteindre son sexe. Je commençais par le masser avec la paume de ma main. Je dégageais sa verge de son string et commençais à la masturber. Il ne me semblait pas que son interlocutrice se soit rendue compte de quoi que ce soit. A Bilbao, nous avions rencontré Helen, fraichement débarquée des philippines. Elle était venue tenter sa chance en Espagne, laissant derrière elle les typhons, les tremblements de terre, un pays rongé par la corruption et le trafic de drogue. Les gens étaient malgré tout ...
    ... très souriants et bienveillants, ce qui n’était pas toujours le cas en Europe où les conditions étaient pourtant bien meilleures. Helen était une jolie métisse, une très belle métisse. Son grand-père maternel était issu d’une famille espagnole qui s’était installée dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle. De leur couple, plusieurs enfants devaient naître. Beaucoup restaient dans leur pays natal. Deux seulement émigrèrent en Espagne. Emilio, l’aîné, disparut pour des raisons confuses après la guerre d’Espagne. Dolores, elle s’était installée à Salamanca, avait eu trois enfants dont Anna qui vivait à proximité de Bilbao et y hébergeait Helen. Quant à son grand-père paternel, c’était un militaire américain qui avait épousé une jeune infirmière thaïlandaise qu’il avait rencontrée lors de la seconde guerre mondiale. A la fin de la guerre, il avait été affecté sur une base militaire aux Philippines. Ils avaient eu plusieurs enfants, dont le père d’Helen qui était resté sur l’archipel, alors que ses frères et sœurs étaient partis étudier puis vivre aux Etats-Unis. Helen arborait une longue chevelure de jais, héritage de sa grand-mère thaï. Sa peau mate contrastait avec ses yeux clairs, hésitant entre le bleu et le vert. Quoi que légèrement plus grande que la majorité des femmes asiatiques, elle en gardait un corps frêle et gracile. Sa poitrine aussi était un peu plus développée que la moyenne, sans toutefois défier les lois de la gravité. Helen ne laissait rarement les gens ...
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