Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
h,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
Je tiens en préambule, par rapport à certains commentaires retrouvés sur différents textes de ce site, préciser que, pour moi dire à ma femme "salope" dans le feu de nos ébats amoureux, n’est absolument pas avilissant et injurieux pour elle, et d’ailleurs elle pourrait vous confirmer qu’elle ne le perçoit nullement ainsi. Ce sont des mots qui utilisés au bon moment décuplent au contraire les envies et je pense qu’il en est ainsi dans les récits. ******************************************************* Je restai de longs instants pantois, affalé dans le canapé, absent, à la fois incrédule au récit que je venais d’entendre dans la bouche de ma femme mais également excité par les faits qu’elle m’avait narré et l’enchaînement plausible des différents évènements. J’espérais sûrement secrètement que tout n’était qu’invention destinée à attiser ma jalousie, une sorte de vengeance par l’esprit, mais en même temps le réalisme des situations, sa tenue et sa mine défaite, le parfum inhabituel qui émanait d’elle, tous ces indices m’en faisaient réellement douter. J’entendis l’eau de la douche couler, puis un silence angoissant se répandit dans la maison. Je n’étais pas en état de réfléchir aux conséquences immédiates de ce que nous vivions, ni de lui apporter une réponse à sa dernière question, ni même de savoir si une acceptation allait nous permettre de recommencer sereinement notre vie de couple ou si un refus allait la précipiter dans les abîmes du vide. Ce qui m’avait le plus ...
... perturbé c’est qu’au fur et à mesure que Céline me racontait avec une précision toute féminine les nombreux détails de ses frasques « présumées », un sentiment de jalousie maladive s’emparait de moi, mais également une envie malsaine de l’imaginer là, se donnant sans retenue à deux inconnus, et que je bandais tout en l’écoutant. Il fallait que je dorme, mais allais-je réussir à m’endormir ? Je montai doucement les escaliers. La porte de notre chambre était entrouverte. Je jetai un coup d’œil rapide : elle était allongée nue sur le ventre, le lit défait, le drap rabattu jusqu’à mi-cuisses. Sa respiration était régulière, ses yeux clos, son visage de profil légèrement tendu. Elle était belle, elle semblait paisible. Le halo blafard de la lumière du couloir éclairait ses fesses, posées telles deux collines douces, aux courbes gracieuses, à la pente bombée et régulière, symétriques, seules aspérités se dégageant de sa silhouette rectiligne. Elles étaient belles et tentantes. Alors je me rappelai que peut-être, une heure auparavant elle les cambrait sensuellement, les remuait dans une danse lancinante, les ouvrait impudiquement et les tendait avidement à deux queues pour se faire baiser ! Je m’assis sur le bord du matelas et mes doigts effleurèrent leur galbe puis coururent délicatement le long de son sillon. Elle sursauta « s’il te plaît Philippe, laisse moi, ce n’est pas sûrement pas le moment, en plus je suis naze, je veux dormir ». Mon geste resta en suspens, je me levai et quittai ...