Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir
Datte: 18/10/2017,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couleurs,
extracon,
cocus,
grossexe,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
... maussade au niveau de l’ambiance. Ce n’est qu’en fin d’après midi que Céline me demanda : — Alors tu as réfléchi ? Je lui répondis : — Oui, c’est OK pour moi, j’ai envie qu’on oublie tout et qu’on recommence, et toi ? Vas-tu les revoir ? Nos regards se croisèrent — Non, ils me l’ont demandé mais j’ai répondu que je ne voulais pas ! Elle m’enlaça et nous nous embrassâmes, enfin plutôt un chaste baiser du bout des lèvres. Il était peut-être encore trop tôt ! Je pensais qu’avec la fin du week-end et le boulot qui reprenait le lundi, la routine quotidienne allait reprendre son cours, mais les aléas de la vie, ou plus sûrement cette expérience inédite comme catalyseur de l’ouverture des sens de ma femme, allaient à nouveau bouleverser notre quiétude et notre relation. La semaine s’écoula donc dans la monotonie. Nous ne faisions plus l’amour, mais sûrement était-ce trop tôt et qu’il était nécessaire de laisser les problèmes s’estomper avec le temps. Néanmoins nos rapports étaient redevenus normaux, notre relation se reconstruisait sur la base pour l’instant d’une communication limitée aux questions domestiques et aux politesses courantes de cohabitation. Et puis jeudi soir je sentis Céline différente. Elle éludait mes conversations, elle s’échappait chaque fois qu’au détour d’une pièce je lui touchais avec affection le bras ou que je lui déposais une légère bise dans le coin de la nuque. Elle semblait ailleurs, contrariée, hésitante, distante et préoccupée, comme un cerf-volant ...
... porté par le vent, qu’une rafale fulgurante venait de faire grimper vers les nuages et qui se trouvait sur le point, soit de se stabiliser à une altitude jamais atteinte, soit de dégringoler et de s’écraser sur le sol. Je ne pouvais rester ainsi, il me fallait sortir de cette situation malsaine, de non-dits et de mensonges passifs. — Qu’est qu’il y a ma chérie, je te sens bizarre, j’ai fait quelque chose qui t’a contrariée, c’est mon attitude, parce que je viens vers toi, tu sais c’est que je t’aime ! Elle semblait hésitante. — Non pas du tout, au contraire, tu es parfait, mais …— Mais quoi ? Elle baissait les yeux, mal à l’aise, ne sachant pas si elle pouvait me confier ses interrogations et ses doutes en toute transparence, si cette honnêteté pourtant indispensable dans un couple n’allait pas provoquer un retour en arrière peut-être fatal dans le difficile réapprentissage que nous tentions de reconstruire ensemble. — Tu sais, tu peux tout me dire, je ne veux plus qu’entre nous il y ait de mensonges et de secrets. À mon grand étonnement, elle se lança. Dans sa voix se mêlaient repentir, excitation et envie. — Il m’a recontacté …— Qui ?— Ben… Mamadou … Je tombais des nues devant cet aveu que je n’aurais jamais imaginé. C’était comme si une seconde trahison me frappait par surprise, par infamie au moment où j’avais tenté de stocker les images de ma femme avec ces deux inconnus dans les cachettes de mon inconscient, ne voulant les faire réapparaître que comme des flashs interdits ...