1. Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir


    Datte: 18/10/2017, Catégories: h, fh, fhh, couleurs, extracon, cocus, grossexe, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, jeu,

    ... encore envie ? D’autres photos très suggestives se succédaient : ses bourses velues, sa hampe vue d’en haut, tel que ma femme avait dû l’apprécier avant de la gober, ses cuisses aux muscles saillants prises de profil avec au fond sa queue triomphante couchée sur son ventre, puis un ultime gros plan sur son gland dénudé émergeant d’une main vigoureuse, et dont jaillissait des giclées de sperme, telles des boules laiteuses semblant figées en l’air par l’appareil. — Tu es une salope, ma chérie.— Oui mon amour, je veux être ta salope, je veux être votre salope … Sa bouche happa une dernière fois mon sexe. Elle dut le sentir tressaillir entre ses lèvres serrées. Sa langue se pressa. Je jouissais abondamment au fond de sa gorge. À ma grande surprise, elle avala toute ma semence avec un sourire de plénitude. C’est bien vrai qu’elle avait changé ! Vendredi soir, Céline m’annonça fièrement qu’elle avait tout réglé ! décidément, ma vie basculait depuis une semaine du rêve au cauchemar et vice versa. Je n’avais effectivement pas oublié ma promesse, mais j’avais dû la mettre quelque part dans ma tête, bien de côté, tantôt redoutant, tantôt espérant sa réalisation. Elle ajouta sur un ton anodin : — J’ai invité Mamadou à dîner demain soir, ce sera plus sympa, comme ça vous ferez connaissance, j’ai commandé un truc simple chez le traiteur, puis par cette chaleur on n’aura sûrement pas trop faim, et j’emmène les enfants passer le week-end chez mes parents. Ils sont ravis. On les récupère ...
    ... dimanche en début de soirée. Imagine la grasse matinée qu’on pourra faire tous les deux ! Tout était dit ! Le temps était magnifique en ce mois de juin et les températures chaudes flirtaient avec les 30°. Elle passa la quasi-totalité du samedi après midi entre notre chambre et la salle de bain. J’occupai le mien à traîner à la piscine, me plongeant de temps en temps dans sa fraîcheur et me prélassant, enveloppé par le soleil, sur la terrasse en teck qui s’ouvrait juste au-delà des portes vitrées du salon pour rejoindre le bord de l’eau. Elle descendit vers 19h30, resplendissante de charme et de sensualité. Elle portait une légère robe estivale noire avec de légers imprimés anthracite en relief représentant des fleurs, arrivant à mi-cuisses, fendue à l’arrière, légèrement cintrée, assez longue pour éviter de dévoiler plus haut au moindre mouvement, mais assez courte cependant pour attirer le regard si les positions devenaient plus osées. Le tissu semblait d’ailleurs collé à ses formes, épousant gracieusement sa cambrure naturelle et moulant agréablement ses fesses. Une dizaine de boutons partant du milieu du dos jusqu’à la courbe des reins la maintenaient fermée et à l’avant un décolleté plongeant jusqu’en dessous de sa poitrine découpait un profond « V » sur sa peau bronzée, maintenant fermement ses petits seins mais laissant apercevoir en son centre leur galbe ferme. Bien entendu, comme d’habitude, elle n’avait pas de soutien-gorge. Ses cheveux bruns étaient coiffés en mèches ...
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