1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (4) : un couple pas comme les autres.


    Datte: 17/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... j’ai envie de lui vider les couilles, j’adore avaler son foutre. J’ai pris Philippe par la main et nous nous sommes dirigés vers les toilettes hommes, laissant notre interlocutrice ébahie. Je ne perdais d’ailleurs jamais une occasion de montrer à ses amis que Philippe était non seulement mon homme, mais mon objet sexuel, mon sex toy, toujours à ma disposition quel que soit le moment ou l’endroit. Une autre fois, j’ai commencé à mettre ma langue dans l’anus de Philippe, puis à y introduire un, puis deux doigts. A son érection, j’avais compris que j’avais visé juste. • Oh chérie, tu me tues ! • Je savais que tu étais un petit pédé, mon chéri. Un jour un mâle t’enculera devant moi ! • Je le ferai mon amour, mais tu sais à quelle condition, que tu te fasses d’abord baiser devant moi. • Pas question, mais moi j’ai bien l’intention de te casser le cul et tout de suite J’avais pris un de mes godes et je le pointais contre son anus. J’avais lubrifié le gode avec de la vaseline. Philippe hurlait de douleur. Je le calmais en le branlant et en le prenant en bouche. • Chérie, tu vas me mutiler. Non ! Ouiiii vas-y, j’aime ça. • Je le savais. Tu es mon homme et tu seras aussi ma femelle. J’ai apporté pour toi un de mes godes à ceinture que j’utilise avec mes maîtresses. Je vais te prendre ! Mets-toi à 4 pattes, femelle. Philippe s’est positionné et je l’ai pris en levrette, sans ménagement. Je l’ai besogné un long ...
    ... moment, bien au fond de ses entrailles. Il couinait de plaisir. • Oh mon Olga, mon amour, oh que c’est bon, je suis à toi, tu peux faire de moi tout ce que tu veux. Casse moi le cul, oui comme ça, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Nous avons renouvelé cela fréquemment et, très rapidement je me suis munie d’un gode à double pénétration, afin que je puisse me baiser pendant je sodomisais mon chéri. Je n’imaginais pas à ce moment-là que j’avais dépucelé Philippe le préparant ainsi pour les étreintes futures avec mes amants. Pendant toute cette période, nous n‘avions, ni lui, ni moi, ni amant ni maîtresse. Nous étions absolument fusionnels, amoureux fous, mais nos relations n’étaient pas « normales ». Elles reposaient principalement sur la fellation, le fist fucking, les relations SM, la sodomie (aussi bien de sa part que de la mienne), plus rarement sur des accouplements plus « classiques ». Philippe se montrant d’une tendresse absolue. J’’étais heureuse, malgré une réelle frustration de ne pas être baisée comme j’en ressentais le besoin. J’étais convaincue d’avoir trouvé un nouvel équilibre et d’avoir maîtrisé mon hypersexualité, c’est-à-dire les dérives qui me gouvernaient depuis l’âge de 15 ans. C’est alors que nous avons décidé de nous marier, en juin 2003. J’avais alors l’ancienneté minimale pour prendre un congé sans solde et rejoindre en France l’homme avec qui j’avais décidé d’unir mon destin. 
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