1. Vacances chez un couple de pervers. (2)


    Datte: 19/10/2017, Catégories: Trash,

    ... vite et, sans crier gare, il se vida en moi. Très vite, il se retira et partit prendre une douche. C’était très bizarre comme sensation. Bien sûr, Diego aimait prendre des initiatives et me prendre férocement mais, habituellement, il veillait à ce que cela me fisse prendre aussi mon pied et jouait avec moi. Là, non, je le trouvais effectivement différent de d’habitude. À son retour dans la pièce, il vit à ma tête que j’avais trouvé notre relation très étrange. - Qu’est-que tu as encore ? Tu n’as pas eu ce que tu voulais ? - Si, si... - Tu voulais ma queue, tu l’as eue alors quoi ? - Mais rien. Arrête de m’agresser. Bien sûr, j’étais rompue au mauvais caractère de mon homme mais, cette fois-ci, quelque chose me troubla. D’habitude, je pouvais percevoir de la tendresse dans ses yeux même lorsqu’il s’énervait mais là, rien. Je décidai de laisser tomber, du moins pour le moment. Mais les jours passèrent et la situation n’alla pas en s’arrangeant. Il rentrait de plus en plus tard sans même chercher à me donner d’explications. Son comportement aussi se modifia. Il commença à déprimer et à n’être plus que dans ses pensées. Je me risquai alors à une nouvelle tentative de dialogue afin de comprendre ce qu’il pouvait bien le mettre dans cet état. - Bon, c’est quoi ton problème ? - Quoi, qu’est-que j’ai bien pu faire encore ? - T’as vu ta tête ? On dirait que quelqu’un vient de mourir. C’est le boulot ? - Mais non. - Quoi alors ? Il y a un problème et je veux savoir. - Tu veux ? Ok, ...
    ... mais après, ne viens pas te plaindre. Tu sais, mon groupe de "jeux", ce n’est pas juste des amis. - C’est-à-dire ? - On joue vraiment de l’argent et, là, depuis deux semaines, je sombre de plus en plus. J’ai accumulé beaucoup de dettes... - Combien, fis-je d’un air dépité. - Environ dix mille euros. - Mais t’es fou ! On n’a jamais eu cette somme, c’est du délire. Tes "amis" là, ils devaient bien le savoir que tu n’avais pas une telle somme. Ils ne se renseignent pas avant ? - Oui et non, ça ne les regarde pas vraiment. Ce qui les intéresse, c’est que je dois payer. Mais, avant de pouvoir participer, on met toujours quelque chose en gage. - Super, de mieux en mieux. Et toi, t’as mis quoi en gage ? On n’a rien de valeur. - Comme chaque joueur, ça. Il sortit son portable et me montra une photo. Je fus sidérée. C’était moi sur la photo. Moi en lingerie. Une photo que je croyais que mon homme gardait uniquement pour lui. - J’ai peur de comprendre. Vous avez tous mis en gage votre femme au cas où vous ne pourriez pas payer ! Vous êtes de vrais connards ! - C’est bon, je n’ai pas besoin que tu me fasses la morale. De toute façon, on n’a pas le choix et ce n’est pas comme si cela t’effrayait. T’es ma salope. Tu vas régler nos dettes et tu vas le faire sans discuter. - Comme tu le dis, je suis TA salope et pas celle des autres. Là, je vais devoir me taper un mec juste pour réparer tes conneries, dis-je, excédée. - Déjà, tu vas te calmer. Ensuite, ils sont cinq, j’ai plusieurs dettes. Et ...
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