1. Vacances chez un couple de pervers. (2)


    Datte: 19/10/2017, Catégories: Trash,

    ... MA salope fait ce que je lui demande. Donc, tu vas me faire plaisir et effacer ma dette en te laissant prendre par ces gars. Et arrête de jouer les mijaurées, tu rêves d’un gangbang depuis des années. Le pire, c’était que ce qu’il me disait était vrai mais une partie de moi rejetait totalement cette idée car je voyais que Diego m’utilisait comme une chose, plus du tout comme sa femme. J’entrevis à ce moment-là qu’il n’avait plus de respect pour moi et c’est ce qu’Ambre essayait de me faire comprendre avant de partir. Mais après avoir passé autant de temps auprès de cet homme, je ne pouvais pas lui dire non. J’étais totalement soumise à lui. En plus, même si j’en avais très honte, cette idée d’orgie me plaisait beaucoup. Ce fut ainsi que je me laissai embarquer dans cette histoire. Notre relation devint pendant les quelques jours qui suivirent très tendue et, bien qu’il essayait de me prendre comme à son habitude, un simple refus réussissait à l’en dissuader. C’était du jamais vu, j’avais quasiment une autorité sur lui. Je savais bien que ce nouveau pouvoir n’était le fruit que de la honte de Diego face à la situation devant laquelle il m’avait mise. Enfin, le jour de payer la dette arriva. Diego allait recevoir les instructions pour le règlement de celle-ci dès le matin. Il revint une heure plus tard avec l’heure ainsi que le lieu du rendez-vous. Plus original, ils s’étaient mis d’accord aussi sur la tenue que je devais porter. Ce fut ainsi que Diego sortit d’un sac des ...
    ... sous-vêtements noirs en dentelle très minimalistes accompagnés de bas résilles et d’une mini-jupe en cuir vraiment courte. Il était impossible de louper le fait que je portais des bas. Enfin, le haut n’était composé que d’un chemisier noir totalement transparent. Le soir arriva et, après m’être préparée pendant plus d’une heure, j’étais prête. Je me regardai dans la glace et le constat était clair : j’étais habillée comme une pute qui allait faire le trottoir toute la nuit. Quelle image dégradante de moi et, malgré cela, je ne pus m’empêcher de fantasmer sur ce nombre d’hommes m’attendant et que je allais avoir rien que pour moi. J’en mouillais d’avance. Je sortis de la salle de bain et Diego me reluqua de la tête aux pieds. Il me tendit un manteau que j’enfilai par-dessus ma tenue afin, au moins, de sauver ma dignité dans notre quartier. Nous prîmes notre voiture et Diego conduisit pendant une demi-heure puis s’arrêta devant une belle demeure. Les gens chez qui nous nous rendions avaient clairement des moyens supérieurs aux nôtres. Il n’était pas étonnant que Diego en était arrivé à me "perdre" au jeu. Mais quel pigeon. Nous entrâmes dans la maison et, très vite, je fis la connaissance des cinq hommes en question. Puis un dialogue un peu absurde se mit en place. - Bonsoir Élise, bonsoir Diego. Elle connaît bien toute la situation, demanda l’homme. - Oui, confirma Diego. - Élise, tu es bien consciente que tu es là pour payer les dettes de ton mari ? Tu es bien consentante avec ...
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