La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°565)
Datte: 20/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°550 - Monsieur le Marquis Edouard d’Evans vient d’informer la businesswoman avec laquelle il est en rendez-vous d’affaires que le coup de téléphone qu’il a reçu de son sous-directeur administratif et juridique lui laisse présager que les négociations commencent à prendre forme. Il se rassoit avec une assurance affichée dans le fauteuil à côté de Madame D…. avant d’en dire plus. A Ses pieds et juste en face de la femme d’affaires qui a beaucoup de mal à rester concentrée, se trouve l’associée Isabelle du Noble Président Directeur Général ou plus précisément pour l’heure et dans une simple tenue d’Eve, la petite chienne-soumise Thaïs MDE. L’esclave-femelle est immobile, toujours à quatre pattes, les yeux baissés regardant le sol, la croupe relevée et le dos cambré, tout son corps affichant les nombreuses marques rougeâtres de la punition cinglante qu’elle a reçu le matin même. Elle garde la langue pendante et la bouche ouverte de laquelle coule sa salive en abondance. Son visage arbore un sourire radieux qui, s’il ne se voit pas dans son regard qu’elle tient braqué vers le bas, se devine sur les plis des commissures de ses lèvres, tirés largement vers l’extérieur. Derrière l’une des portes de la pièce se tient toujours le chien-soumis compelled MDE qui porte bien son nom, encore plus que d’habitude, puisque, sur ordre du Maître Vénéré, il a été totalement « animalisé » de la tête aux pieds par une tenue intégrale ...
... moulante qui lui donne une étrange allure dans son déguisement D/s de circonstance, ne laissant apparents à travers les découpes de la pelure que ses deux tétons munis de pinces en métal, ses attributs mâles, sa raie anale pluguée d’une courte queue plastique recourbée. L’esclave-mâle est songeur car il n’a rien d’autre à faire que d’attendre dans la pénombre de cette pièce où rien ne bouge, même pas lui d’un plus petit iota. Il se doute que la porte près de laquelle sa laisse est accrochée pourrait s’ouvrir à tout moment, puisqu’il lui a été indiqué que Monsieur Le Marquis d’Evans viendrait le chercher lorsque cela Lui agréerait. La porte est insonorisée et rien ne filtre, ni son, ni faisceau de lumière. Le silence de mort est pesant pour le soumis au fil des minutes qui passent et de ses muscles qui s’engourdissent. Mais, la situation avec la transformation en cabot sur quatre « papattes » et la contrainte imposée de l’immobilité restent terriblement excitants, ne serait-ce que par le simple fait qu’il ne sait pas ce qu’il va se passer par la suite. Mais, c’est surtout l’humiliation ressentie qui titille son esprit masochiste de n’être devenu plus rien en apparence qu’un banal clébard attaché par une laisse dont le visage humain a été recouvert d’un masque en tête de chien pour donner encore plus de vraisemblance à l’accoutrement animalier. Il bande tout à son aise car sa queue a été volontairement laissée à l’air libre, ce qui est étrange pour ce soumis qui est habitué à ...