La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°565)
Datte: 20/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... vivre encagé la plupart du temps depuis son arrivée au Château pour parfaire son dressage sous le Joug de Monsieur le Marquis d’Evans. Compelled MDE en est même presque gêné de savoir qu’il a entre les jambes deux couilles pleines qui ballotent avec par devant un sexe dur et terriblement gonflé. Il en vient même à se demander si Le Maître Vénéré ne va pas le réprimander de ne pas avoir su retenir sa bandaison pendant ce temps d’attente, alors même qu’il est évident qu’aucune autorisation particulière ne lui a été accordée à cet effet. Mais plus il pense à ce qui pourrait mettre fin à son excitation physique plus que visible, plus il ressent le bien-être de sa condition de chien-esclave masochiste totalement assujetti à Monsieur le Marquis d’Evans et plus cela a tendance à faire gonfler sa verge d’être ce qu’il est, juste ce qu’il est devenu, un simple chien-soumis MDE prêt à tout pour satisfaire le Maître auquel il appartient et ce de toutes les manières qui lui seront imposées par Le Dominant. De l’autre côté de la porte insonorisée, seul Monsieur le Marquis d’Evans qui a tout orchestré depuis le début connaît la présence du chien-soumis compelled MDE en position d’attente, car Son esclave fait aussi partie de Son plan pour la suite de cette réunion d’affaires, un peu particulière, c’est le moins qu’on puisse en dire. Le Noble PDG se retourne vers son interlocutrice, avec un air tout à fait calme et serein, comme pourrait l’afficher un très bon joueur de poker qui n’a rien ...
... en mains. - Madame D…., je peux vous annoncer que votre frère vient d’accepter pour sa part la proposition que mes collaborateurs vous avaient fait parvenir. Comme quoi, je me réjoui d’avoir eu plus que raison de partir sur l’idée pour cet après-midi d’une négociation séparée qui me semblait plus facile à poursuivre, alors que notre entrevue de la matinée n’avait pas avancé d’un pouce. Sans compter le plaisir que j’ai eu de me retrouver seul avec vous, en tête en tête. Si je puis dire, la balle est donc maintenant dans votre camp. Il ne vous reste plus qu’à valider le contrat pour finaliser cette transaction. La Femme d’affaires reste encore un peu perplexe de voir que les choses se seraient dénouées aussi rapidement. Elle hausse les sourcils avant d’ajouter : - Vous en êtes certain, Monsieur d’Evans ? - Décidemment, Madame D…., même avec une aussi bonne nouvelle, obtenue de mains de Maître, vous n’arrivez toujours pas à me gratifier de mon titre nobiliaire de Marquis. - Et puis quoi encore !!! Vous ne voudriez pas en plus que je vous « baise les pieds », sous prétexte que vous êtes arrivé à vos fins avec mon frère, ce qui n’était pas évident à négocier, je le reconnais ! Encore qu’au prix proposé dans votre offre d’acquisition, il n’y a pas à faire acte de bravoure haut la main de …. « rien du tout ». - Ah ! Je trouve vraiment que l’idée ne serait pas si mauvaise que ça. Il est vrai que cela ne me déplairait pas de vous voir me baiser les pieds pour de vrai, à l’instant même. ...