Pauline - Années étudiantes (10)
Datte: 20/11/2020,
Catégories:
Hétéro
Chapitre 10 André et moi avions convenu de nos revoir le lendemain. Cependant, il n’était pas question de pose, de dessin, ou de relation sexuelle. Par contre, nous avions décidé de nous tutoyer. Il voulait passer un repas, simple, vêtu. Peut-être que nous n’avions pas la même définition sur ce dernier terme. J’avoue que c’était voulu de ma part. Je savais qu’il aimait voir mon corps. Le doute n’était pas permis. Lorsque j’ai sonné à la porte, je portais un caraco transparent et un string. Il fut surpris, le contraire m’aurait étonné. Et il me dit, sur un ton de reproche : • Pauline, nous avions dit habillé. • Je sais, mais toutes mes autres affaires sont en train d’être lavées. Je n’ai pas eu le choix. Il sourit, il savait que je mentais. Ca n’empêcha pas de passer une très agréable soirée… Même si je ne le trouvais pas trop en forme. Il toussait… Cela m’inquiétait un peu. Mais pour détendre l’atmosphère, il me répondait « C’est toi qui passe ton temps toute nue, mais c’est moi qui attrape un rhume ». Après avoir mangé, je l’ai quitté. On avait beau être à deux jours des vacances, j’avais des devoirs à faire. Et le vendredi soir, alors que j’allais prendre le train le lendemain matin pour revoir mon père et passer Noël avec lui, il m’offrit un cadeau. Je l’ai regardé stupéfaite, ne m’y attendant pas du tout. Il me dit • Je suis incorrigible, je n’ai pas réussi à attendre ton retour… Voilà, un petit cadeau pour noël. • Mais… André… Pourquoi ? Il ne fallait pas, vraiment. • ...
... Je crains que le cadeau ne soit plus pour moi que pour toi. • Je n’ai rien pour toi. • Je me doute bien, normalement on offre après, mais pas avant. Allez, s’il te plait, montre-moi si ça te va bien. J’ai ouvert le paquet et ai sorti une magnifique robe bleue dos nu. J’ai pris André dans mes bras pour le remercier. Il me repoussa en me disant "vas la mettre, vas te changer dans la salle de bain". J’y suis allée. L’ouverture dans le dos descendait jusqu’à la naissance de mes fesses. J’ai retiré mon string, c’était plus joli ainsi, j’étais nue sous la robe. Elle tenait sur moi par une simple ficelle nouée derrière le cou. Le tissu était léger et doux, caressait agréablement la peau de ma poitrine qui se mouvait librement à chacun de mes pas, faisant au passage durcir et pointer mes tétons sensibles. Je me suis montrée à lui, il avait les yeux qui brillaient. Il voulut parler, mais fut bloquer par une quinte de toux. Il se reprit, et me dit : • Tu es magnifique dedans. La couleur va parfaitement avec tes cheveux et tes yeux. • Merci, elle est très belle. • Peut-être aurais-je dû la prendre plus longue. • Non, elle m’arrive jusqu’à mi-cuisses, elle est suffisamment longue. Je la mettrai à Noël, pour toi. • J’aurai ainsi l’impression d’être avec toi. Il sourit et partit à nouveau dans une quinte de toux. Je me suis inquiétée : • André, as-tu vu un docteur aujourd’hui ? • Tous des charlatans. Ne t’inquiète pas, je suis plus costaud que j’en ai l’air. • … Si tu ne vas pas chez le ...