1. Pauline - Années étudiantes (10)


    Datte: 20/11/2020, Catégories: Hétéro

    ... jarretière de mes bas. J’ai écarté les jambes légèrement, mais suffisamment pour qu’il atteigne mon minou nu. Il m’a caressée. J’ai camouflé ma jouissance en blottissant ma tête dans son cou, et je lui ai murmurait "j’en ai encore envie". Il s’est levé, a pris ma main pour que je l’accompagne. Nous avons attendu que les toilettes se libèrent et nous y sommes rentrés. Je ne sais même pas si des personnes nous ont vu, je n’ai pas regardé. Il retira mon manteau, me caressa la poitrine pendant que j’enlevais mon écharpe. J’ai tiré sur le nœud de ma robe qui glissa le long de mon corps. Et j’étais quasiment nue devant lui, n’ayant sur moi plus que mes bas et mes chaussures. Il me lécha chaque sein, me lécha le vagin, me lécha l’anus. Il ne s’attardait pas, me montrait son impatiente de goûter chaque partie de mon corps. J’étais impatiente aussi, et à mon tour, j’allais le découvrir. Je l’ai un peu sucé avant de prendre appui sur le petit lavabo pour qu’il me pénètre par derrière. Vagin, puis anus... Il s’est retiré, sur le point de jouir. Je voulais connaitre le goût de son sperme. Je me suis agenouillée rapidement devant lui, et ai pris sa verge ...
    ... dans ma bouche. Il éjacula aussitôt. J’ai savouré chaque jet, puis chaque goûte qui en sortait. Et mon excitation s’évanouit, mais mon envie de cet homme resta intacte. Il m’a à nouveau embrassée en se tenant dans les bras l’un de l’autre. On frappa à la porte "Il y a des gens qui attendent !". Alors, j’ai remis ma robe, il noua la ficelle dans mon cou. Il m’aida à enfiler mon manteau, j’ai attrapé mon écharpe et nous avons regagné nos places. Toujours sans dire un mot, j’avais la tête posée sur son épaule, tenais une de ses mains entre les miennes. Un sentiment étrange et nouveau avait pris possession de mon corps. Je pensais savoir de quoi il s’agissait sans en être certaine. bqlbyygr Et le train a commencé à freiner à l’approche d’une gare. Il m’a embrassée, me caressa les cheveux avec une tristesse dans le regard, s’est levé et a récupéré ses affaires. Et plus il s’éloignait, plus une impression de vide me gagna. Je le vis sur le quai de la gare, une femme à côté de lui, deux enfants lui sauter dans les bras. Il regarda dans ma direction. Je lui ai fait un signe de la main, il me sourit, le train est reparti et une profonde tristesse me gagna. 
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