1. L'initiation de Sandrine (1)


    Datte: 20/11/2020, Catégories: Lesbienne

    Je me prénomme Sandrine et je crois que rien ne me prédisposait à connaître l’homosexualité, quoique... L’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée à la fin des années 90 et, dans les grandes lignes, est la retranscription de ce que j’ai vécu. Il y a près de 20 ans, je venais d’avoir 18 ans et j’étais en Terminale S dans un lycée de Toulouse. Le mercredi et le samedi, j’avais l’habitude de passer l’après-midi chez Florence, une camarade de classe. Dans sa chambre, nous travaillions sur les devoirs que nous avions à rendre et sur les leçons que nos professeurs nous avaient données. Nos séances de travail étaient souvent interrompues par les petites histoires que nous nous racontions sur nos petits amis respectifs, sur les films qu’il ne fallait surtout pas rater ou sur nos idoles de l’époque: les Worlds Apart, Ricky Martin, Florent Pagny, ... Régulièrement, la maman de Florence entrouvrait la porte de la chambre et nous demandait si nous avions besoin de quelque chose. C’était pour nous une nouvelle occasion de nous accorder une petite récréation ! La maman se prénommait Véronique et avait 36 ans. Elle ne travaillait plus et avait préféré se consacrer à l’éducation de ses trois enfants: Florence et ses deux petits frères. Chaque fois que j’allais chez elle, Véronique était bien mise, souvent vêtue d’une jupe et d’un chemisier léger et ses jambes étaient toujours gainées de bas ou de collants (à l’époque je n’aurais su dire). Quant à son visage, je l’avais toujours vu ...
    ... légèrement maquillé. Plusieurs fois, j’avais dit à Florence que sa maman était bien jolie et semblait jeune ce à quoi Florence m’avait répondu que sa maman avait été enceinte dès le début de son mariage et que, quand elle était venue au monde, sa maman n’avait pas encore 20 ans. Ce samedi là, vers 14h, je sonnai à la porte de chez Florence et, contrairement à d’habitude, c’est Véronique qui vint m’ouvrir. — Bonjour Madame ! — Bonjour Sandrine ! Florence a dû s’absenter une petite heure mais je t’en prie, entre un peu. Véronique me guida vers le salon et m’invita à prendre place sur le canapé. Bien qu’en ce début juin les températures étaient particulièrement élevées pour la saison, je m’étais habillée comme à l’accoutumée d’un jean, d’un tee-shirt sur lequel j’avais passé un polo qui cachait plus ou moins mes formes. L’ensemble n’était pas fait pour me rafraîchir et des gouttes de transpiration se formaient sur les arêtes de mon nez. Bien entendu, Véronique avait remarqué que la chaleur m’incommodait et, tout naturellement, elle m’invita à enlever ce polo qui n’était pas de saison ! — Il me semble que tu as bien chaud ! Mets-toi à ton aise et enlève ton polo. Je m’exécutai et je laissai tomber ce vêtement trop épais. — Veux-tu boire quelque chose ? Un coca ? Un Schweppes ? Une orangeade ? — Un coca ! Avec plaisir ! — Veux-tu que j’y mette quelques glaçons ? — Volontiers ! — Moi, je vais me servir un Schweppes. Et c’est ensuite que tout bascula ! Alors qu’elle revenait avec deux ...
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