L'initiation de Sandrine (1)
Datte: 20/11/2020,
Catégories:
Lesbienne
... verres pleins, Véronique heurta le coin de la table basse et faillit trébucher. Ce faisant, le contenu des verres quelle tenait se renversa sur nos vêtements. Mon jean, mon tee-shirt et même mes chaussettes étaient maculés d’un mélange coca- Schweppes ; l’état de la jupe et du chemisier de Véronique ne valait guère mieux. — Oh ! Mais que je suis maladroite ! Regarde-moi dans quel état je t’ai mise ! Tes vêtements sont tout trempés, tout tâchés ! — Ce n’est pas grave. Ils vont bien finir par sécher. — Viens dans la salle de bain pour que je nettoie les dégâts. Je la suivis dans la salle de bain et aussitôt, Véronique commença à enlever sa jupe et son chemisier et se retrouva rapidement en petite culotte et en soutien-gorge, le tout en dentelle blanche. — Allez Sandrine ! Enlève-moi ton jean et ton tee-shirt pour que je les rince et que je les fasse sécher. J’étais un peu intimidée de me retrouver ainsi près d’une adulte à moitié nue et j’hésitais à me déshabiller. C’est Véronique qui prit les choses en main et qui fit passer mon tee-shirt par-dessus ma tête. Puis elle se baissa et déboutonna mon jean qu’elle essaya de faire glisser le long de mes jambes. Etait-ce parce qu’il était mouillé mais le jean glissait mal sur ma peau et, en le faisant descendre, Véronique faisait aussi descendre un petit peu ma petite culotte. J’étais troublée d’être face à une femme en petite tenue et de me faire ainsi déshabiller par cette femme presque nue. Tellement troublée que je restais les ...
... bras ballants alors que Véronique était à mes pieds. Nous restâmes près d’une minute dans cette position, sans bouger, puis Véronique se redressa et nos regards restèrent accrochés l’un à l’autre. Ce n’était plus simplement du trouble que je ressentais mais aussi un mélange d’émoi et d’excitation. J’avais l’impression que des papillons virevoltaient dans mon bas-ventre et ma respiration se faisait plus rapide. Bien sûr, même si ce n’était pas une activité que j’exerçais régulièrement, je m’étais déjà masturbée quelques fois et à ce moment-là, presque nue dans une salle de bains avec une adulte aussi peu vêtue que moi, j’avais cette furieuse envie de me toucher... Véronique dût sentir mon émoi car elle s’approcha un peu plus de moi, à presque me toucher. Je baissais les yeux et voyais sa poitrine qu’elle avait menue se soulever au rythme de sa respiration. Puis elle posa ses mains sur mes épaules et, lentement, fit descendre les bretelles de mon soutien-gorge avant de libérer mes petits seins. De mon côté, je me sentais toute humide mais n’osais faire le moindre geste de peur de rompre ce moment d’enchantement. C’est encore Véronique qui me débarrassa entièrement de ma petite culotte et je me retrouvais entièrement nue face à elle... — Oh cette jolie toison ! Comme elle me semble douce ! En disant cela, Véronique enfouit son nez dans mes poils pubiens alors que ses mains prenaient possession de mes fesses. Pendant plusieurs minutes, je restais debout, les yeux fermés, le souffle ...