La tournante a bien tourné
Datte: 19/10/2017,
Catégories:
ffh,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
Le temps un peu frais n’incite pas à la promenade. Seuls quelques travailleurs attardés regagnent rapidement leurs logements. Les enfants sont rentrés depuis longtemps, scotchés devant la télévision ou leurs jeux. Depuis longtemps, les services municipaux ont renoncé à réparer le lampadaire du coin du bâtiment B de la ZUP. D’ailleurs personne, sauf des inconscients, ne passerait dans ce coin-là à la nuit tombée, c’est le territoire des « maîtres de la nuit » comme ils se nomment, et on les entend. Mais aujourd’hui, pas de Rap ni de grandes gueulantes. Cinq ou six jeunes sont groupés comme pour une mêlée. Des piaillements vite étouffés, des rires et ça remue pas mal. Un couple et son chien, inconscient, trottine sur le trottoir en face, terminant son jogging. Curieux de nature, l’homme dévie légèrement de son parcours afin de se rapprocher et connaître l’origine des ces cris : pourvu qu’ils ne fassent pas de misère à un chien. Sa compagne le suit. Ils s’approchent, tranquillement. Aussitôt deux jeunes, assez grands, se détachent du groupe, roulant des épaules, l’air agressif et leur jettent : — Tirez-vous, sinon ça va être votre fête !— Faites pas de mal à ce clébard, il ne vous a rien fait. Les deux éclatent de rire : — Drôle de clébard, une chienne, oui. D’un coup l’homme comprend. — Laissez cette fille, sinon vous allez le regretter. Un des gars sort une lame de sa poche, l’air menaçant, s’avance vers lui, et dit : — Ah oui, fous le camp, sinon… Il ne peut dire un mot ...
... de plus. Une boule noire de cinquante kilos l’a projeté à terre et deux mâchoires puissantes lui enserrent la gorge. — Lâchez cette fille sinon je vous tue tous, hurle l’homme. Le groupe surpris par cet éclat, se redresse, lâchant sa proie, se regroupant, prêt à intervenir. — Si vous ne la laissez pas, il égorge votre copain puis s’occupe de vous. En même temps, il s’avance vers le deuxième qui l’avait interpellé et d’un coup de la laisse terminée par une boucle en fer, lui lacère le visage. Une fille dépenaillée jaillit du groupe, tenant son jean à deux mains, vient se réfugier près de la femme. Le chien immobile, attend, visiblement un ordre. — Alors, vous vous tirez ou je le lâche ? L’un après l’autre, ils reculent contre le bâtiment, oubliant leur copain au sol. — Rudy, lâche, surveille. Le chien relâche la gorge, reste menaçant, grondant, la gueule ouverte. Le jeune se redresse, mais n’ose bouger. — Tu es responsable de cette fille. S’il lui arrive le moindre ennui, tu es mort. Fous le camp. Lentement, en reculant, le jeune rejoint ses collègues. Posément, l’homme retourne vers le trottoir. La fille, le tee-shirt déchiré, le jean rabaissé, est immobile, paralysée contre la femme, impossible de la faire bouger. La prenant à bras le corps, il la met sur son épaule. Quarante kilos à tout casser. Le chien, au pied, attend, la gueule ouverte, menaçant. Ils reprennent leur parcours, la bête à côté d’eux. ---oooOooo--- Elle est bien, dans son bain, ce n’était qu’un cauchemar. ...