La tournante a bien tourné
Datte: 19/10/2017,
Catégories:
ffh,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
... rassurée, lui a conseillé d’aller consulter un psy. Mais Sabine a refusé cette idée, ne désirant pas être considérée comme folle. De plus, elle ne voulait rien dire à ses parents. Les premiers temps, même la pensée qu’Hervé puisse la toucher, l’affolait. Elle était crispée. Peu à peu, elle s’est détendue. À chaque visite, Hervé s’installait à son côté sur le canapé lors de leur discussion. Elle l’a laissé lui toucher la main, puis, petit à petit, a accepté son contact. Maintenant, elle l’embrasse quand elle arrive. Mais même aujourd’hui, quatre ans après, elle craint toujours le contact avec les autres hommes. Le couple parle souvent de son problème. Ils font tout pour l’aider à guérir, si c’est possible. ---oooOooo--- À partir du jeudi de l’Ascension s’ouvre un week-end de quatre jours. La famille de Sabine a décidé d’aller voir les grands-parents qui habitent assez loin. Mais elle proteste, invoquant du travail en retard pour la fac, en réalité elle désire être libre. Ne voulant pas la laisser seule, ils ont demandé à ses amis s’ils pouvaient l’héberger. Naturellement, ceux-ci ont accepté avec joie. Pour elle, c’est un moment sans aucune contrainte, avec ses amis elle pourra parler, sortir. Elle est arrivée le mercredi soir. Jamais elle n’a eu l’occasion de coucher chez eux depuis son aventure. Ils lui ont donné la même chambre. C’est l’occasion de veiller tard, discuter de tout et de rien, mais sans oser aborder son problème. Le matin, au réveil, aucun bruit dans la ...
... maison. Elle sort dans le couloir. Passant devant la chambre du couple, Véronique l’interpelle : — Sabine, écoute. Un peu étonnée, elle entre. Hervé est encore endormi, Véronique s’étire, détendue dans le lit. — Si tu descends déjeuner, pourrais-tu nous monter le café s’il te plaît, aujourd’hui j’ai la flemme d’y aller.— Mais volontiers, je reviens dans quelques instants. Heureuse de pouvoir leur rendre service, elle prépare le café, place le tout sur un plateau et revient. Elle pousse la porte du pied, Véronique est assise dans le lit, la veste de pyjama déboutonnée, laissant apparaître un sein dans l’échancrure. Hervé, daigne ouvrir les yeux, se redresser, torse nu. — Ces messieurs dames sont servis, dit-elle d’une manière cérémonieuse, en souriant. Elle tend le café à Véronique. En se redressant, Hervé bouscule légèrement sa femme et un peu de café tombe sur la poitrine, déclenchant les protestations. — Hervé, fais attention, tu m’as toute salie !— Excuse-moi ma chérie, je vais nettoyer ça. Il écarte les pans de la veste de pyjama et de la langue lèche la poitrine, provoquant le rire de sa femme. — Sabine, lui dit-il, tu as oublié le lait, je vais me servir directement. Il saisit un sein et en tête le bourgeon. Ne sentant rien venir, de la main il presse le mamelon, entraînant les protestations de sa femme. — Mais ma chérie, Sabine n’est pas une enfant, elle sait ce qu’est un sein, elle est elle-même bien fournie.— Mais c’est quand même choquant pour elle et pour nous.— ...