1. Transports routiers


    Datte: 22/11/2020, Catégories: fh, hplusag, grossexe, vacances, voiture, autostop, Oral 69, pénétratio, portrait, roadmovie,

    ... le débit plus lent, le volume plus faible, proche du chuchotement, pendant que mon doigt traçait des courbes sur ses lèvres. — Elle sait même pas pourquoi, ça lui est venu comme ça. Elle a vingt ans, et toi près du double, et alors ? Et puis, oui, tu es comme tu es, mais ça lui va, elle te trouve même plutôt beau à ta façon. Donne-moi ta main : sens, sens comme elle est mouillée. Sens comme c’est doux. Sens comment ça doit être bon d’y fourrer ta bite bien raide. Est-ce que je peux être ta petite salope à toi, Bruno ? Juste une fois ? Bruno déglutit sans répondre. Je l’attirai sur la couchette étroite, déboutonnai sa chemise à carreaux, glissant mes mains sur son torse. — Tu vois, je suis velu comme un singe. C’est affreux. Je déposai de petits baisers sur sa poitrine. — Génial, c’est un de mes fantasmes !— Et mon gros bide…— Mignon comme tout. Je ris de plus belle. Je posai mes lèvres sur son épaule musculeuse et aspirai longtemps et avec force, lui collant un joli suçon. Je prenais bien soin, tout en poursuivant ma pluie de doux baisers sur sa peau, de laisser les pointes toujours durcies de mes seins dessiner des arabesques sur son torse. — Oh la la Louise, c’est pas possible, comment veux-tu que je résiste à ça ? Il s’était mis à rire lui aussi, en se débarrassant de sa chemise. Il était effectivement couvert de poils sombres : sur le torse, le ventre, les bras, les épaules, le dos. Et ça m’excitait à mort. — Tu me crois maintenant, Bruno ? Tu sais, j’ai envie de toi ...
    ... pour ce que tu es, pour la mélancolie qu’il y a dans tes yeux, pour ton sourire trop rare. Mais pas seulement. Tu m’excites, j’ai envie de sentir contre moi ton corps tout poilu, ton ventre rebondi. Jamais un athlète ne me fera cet effet. Je plongeai la tête vers le bas. Bruno protesta mollement tandis que je débouclai sa ceinture. Le bermuda disparut, me laissant face à un slip shorty en maille, tendu par un renflement énorme. Je tirai sur le sous-vêtement avec autant de conviction qu’il en avait mis à me déculotter. Gros Cube n’avait pas volé son surnom. Face à moi, deux cuisses étonnement musculeuses. Mes mains posées sur ses fesses les sentaient tout aussi galbées. Sous l’arrondi du ventre, sa verge était dressée, vigoureuse, impressionnante, au milieu d’une forêt de poils noirs et épais. Sa longueur était dans la bonne moyenne. Mais elle était incroyablement large, épaisse. Je ne pus m’empêcher d’avoir un moment de trac à l’idée d’introduire ce gros chibre dans ma petite fente. Mes mains soupesèrent ses couilles ridées et poilues, plutôt énormes elles aussi. Je perçus chez lui un moment de gêne. Alors je ne perdis pas de temps. Je suçotai ses bourses, puis fit remonter de petits baisers depuis la racine de sa verge, jusqu’au prépuce, que j’achevai de décalotter avec la langue. Je vis son gland, épais, charnu. Je donnai quelques coups de langue sur le frein. Il gémit. Je posai mes doigts fins sur sa grosse queue que je me mis à branler doucement, puis de plus en plus ...
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