1. Promotion canapé... et petits-fours


    Datte: 22/11/2020, Catégories: hh, fhhh, fbi, hagé, couplus, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral hsodo, échange, Partouze / Groupe confession, Gay Transexuels

    ... sexuelle avant vous ? Une vie sexuelle où les hommes ont tenu leur place.— Si, mais comment savez… ?— Et vous ? Antoine sait-il que vous aviez une vie très "partageuse" avant de le rencontrer, du temps de Luis ?— Non, mais comment savez-vous tout cela ?— Mais par les réseaux sociaux, ma chère. Il suffit d’y consacrer un peu de temps, et il est possible de savoir énormément de choses. Pour le reste, les hommes aiment se vanter et il suffit de poser les bonnes questions aux bonnes personnes.— Je comprends. Mais qu’attendez-vous de nous ?— Mais, des partenaires. Antoine plaît beaucoup à Paul. À moi aussi, d’ailleurs. Je me sens presque vexée que seul mon mari fasse l’objet de tant de désirs. — Et moi ? Et cette promotion ?— Ma chère, la promotion est acquise depuis longtemps ; elle n’est que le prétexte. Regardez comme c’est beau. Sur l’écran, mon mari est maintenant allongé en travers de ce lit assez étroit. Sa tête déborde d’un côté, et tout de suite j’en comprends la raison. C’est étrange de le voir dans une de ses positions favorites. Mais normalement, c’est moi qui suis à sa place. C’est moi qui ouvre la bouche pour accueillir sa queue. Ici, ce sont ses lèvres qui étranglent le mandrin. Le mandrin de Paul, bâton dur qu’il pousse dans la gorge de mon mari. Lorsque la bite est au plus profond, les couilles surplombant le visage, Paul regarde de notre côté, sourit et fait un signe de la main. — Je vais aller les rejoindre. Restez ici. Regardez. Patricia se lève. Quelques ...
    ... secondes plus tard elle apparaît sur l’écran. J’étais venue, prête au sacrifice afin d’aider mon mari à gravir les échelons de sa boîte. Bon, d’accord, "sacrifice" n’est pas tout à fait exact, mais tout de même… Et me voici en petite tenue dans ce salon en train de visionner la transmission de son "sacrifice" à lui. Oh, pour lui aussi, le mot "sacrifice" paraît un peu fort. D’ailleurs, il sait peut-être qu’il est déjà promu et que ce qui se passe dans cette chambre n’est plus que pour le plaisir. Voilà Patricia qui entre. Antoine ne la voit pas. Ne peut pas la voir : la bite et les couilles ne lui en laissent ni la vue ni l’audition. Je sais tout ce qu’il ressent. Son visage n’est déjà plus qu’un champ de bataille où sa salive ruisselle. Des larmes viennent s’y joindre. Larmes que la possession virile et profonde déclenche en particulier lorsque le gland heurte le fond de la gorge. Je ne le savais pas capable de tout gober. Mais peut-il refuser ? Son amant – cela me fait bizarre d’appeler son patron ainsi, mais après tout, qu’est-il d’autre pour l’instant ? – utilise sa gorge comme une grotte sans fond. Mais une grotte chaude, aux parois lisses, à l’ouverture qui s’adapte au mandrin. Antoine n’entend plus que le bruit étrange de cette bite qui avance et recule dans un océan humide. En plus, ses oreilles sont couvertes par des mains puissantes qui maintiennent sa tête. Pourrait-il s’échapper de ce tourment ? Oui, bien sûr, il pourrait se lever et s’enfuir. Mais il ne le veut pas. ...
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