Promotion canapé... et petits-fours
Datte: 22/11/2020,
Catégories:
hh,
fhhh,
fbi,
hagé,
couplus,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
Oral
hsodo,
échange,
Partouze / Groupe
confession,
Gay
Transexuels
... vu la queue du mari ne peut qu’exprimer sa surprise de sentir son cul envahi par un dard "féminin" mais puissant. Patricia s’est saisie des cuisses d’Antoine, en faisant des appuis pour mieux l’enculer. Déjà les couilles heurtent ses fesses. Ainsi Paul et Patricia forment un couple hors norme. Qui aurait pu se douter de cette virilité cachée sous ce corps de femme ? Quel secret ! Quelle confiance que de se découvrir devant nous ! Ils ont flashé sur mon mari. Mon mari qui se fait labourer le cul par une bite bien raide, bien grosse, bien longue. Pourquoi est-ce que cela m’excite ? Mon mari qu’un homme branle pendant qu’un autre l’enfile. Car Paul est venu se greffer au duo. Paul qui astique le manche d’Antoine, le regard rivé sur la belle bite de son "amie" qui entre et sort dans ce cul qui reste ouvert, obscène, hurlant silencieusement qu’il veut être défoncé. Et pour être défoncé, il l’est ! C’est perturbant de voir son homme devenir le jouet, ô combien consentant, de ces deux hommes. Ma main s’active sans même que je m’en aperçoive. Je ruisselle de mes caresses, mais surtout je me repais de la scène devant moi. Un jet monte au ciel et retombe, éclaboussant la main qui le guide. Antoine éjacule. Son foutre est une source sans fin. Ses couilles ont toujours été généreuses, mais dans cette chambre, c’est le "Old ...
... Faithful". Patricia continue son doux labeur. Elle/lui aussi jouit. C’est un délice de voir le cul de mon mari laisser suinter le foutre de son amant. Les trois hommes reposent sur le lit. Le regard de deux d’entre eux est dirigé vers moi. Sarcastiques, souriants, provocateurs.« Et si… Il suffit que je me lève… Que je franchisse la porte de la chambre… » Tous trois me regardent. Oui, je suis belle, désirable et, putain, que vous m’avez excitée ! Une branlette solitaire ne peut être que des prémices. Regardez bien. J’enlève mon soutien-gorge. Mes seins ne sont pas si gros, pas si fermes, mais… Oui, regardez ma chatte, la fente humide que ma culotte libère. C’est la seule dans cette pièce. Oui, regardez mon cul : c’est celui d’une vraie femme. Et mes lèvres humides… Pourquoi j’attendais ce geste ? Antoine se lève et vient vers moi. Et moi, salope, pute, cochonne, je l’embrasse. Je lèche son visage comme une chatte, comme une chienne. Je goûte sur ses lèvres le goût du foutre de son amant. Trois hommes ? Pas vraiment, mais en tout cas trois queues, trois bites. Trois bites rien que pour moi ! Mais je peux être partageuse. J’en vois bien une – celle d’Antoine – se glisser dans le cul de Patricia pendant qu’elle me baise. Quant à Paul… ma gorge, mon cul… Il a l’embarras du choix ! Venez, mes agneaux. Je vais vous manger tout crus.