1. Le prix à payer (7)


    Datte: 22/11/2020, Catégories: Hétéro

    ... effet. Elle était encore abasourdie par le luxe de l’entreprise, par l’espace qu’on lui octroyait, à elle, petite secrétaire. Elle regarda les murs nus. Visiblement il y avait des tableaux qui avaient été enlevés. « Il va falloir que j’habille un peu ça, ça fait triste et nu. Je vais demander à Buzzato si j’aurai un petit budget pour la déco. » L’interphone retentit. " - Oui ? — Vous avez fait le café, Irène ? — Ah non, pas encore, Mr Buzzato, je cherche… — Tout est dans le petit meuble bas. Mettez ça en route puis vous venez me voir en nous apportant les tasses et la cafetière. — OK, Mr Buzzato, je m’en occupe tout de suite. — Irène ? — Oui Mr Buzzato. — Vous m’appelez Fabrizio, n’oubliez pas. — Ah oui, Fabrizio. Bien-sûr." Elle trouva tout pour faire le café, comme annoncé. Elle mit la cafetière en route, et installa deux tasses sur un petit plateau en métal argenté qui devait servir à ça. Ensuite, elle prit le plateau et frappa à la porte du bureau de son nouveau patron. " - Vous n’avez pas besoin de frapper, Irène, quand vous rentrez par cette porte. Pour le reste il y a l’interphone. — Je suis désolée, Mr Buz… Fabrizio. Je n’ai pas encore l’habitude. dcadeefj — Bien entendu." rit-il. Ils s’assirent dans le canapé, elle posa le plateau sur la table basse, leur servit deux tasses. " - Ah ma petite Irène, je suis content que vous travailliez avec moi, que vous soyez mon assistante." lui dit-il avec un bon sourire, et il lui caressa les cheveux. Elle lui rendit son ...
    ... sourire, ravie : " - Moi aussi, Fabrizio. Je suis si heureuse, si vous saviez. — En plus, vous êtes non seulement une grande professionnelle, mais vous êtes une si belle femme." et il ponctua son propos en lui pressant doucement un de ses gros seins à travers le pull. Irène rougit, un peu surprise de son attitude. Mais elle ne s’offusqua pas. Après tout, elle lui devait tout, elle était à lui. " - Vous me flattez, Fabrizio. — Mais non, vous savez que je vous apprécie et que vous me plaisez. — Oui, je le sais, Fabrizio. Mais maintenant vous êtes mon patron. Il ne faudrait pas que les gens… je veux dire, dans l’entreprise… — Pourquoi croyez-vous que j’ai un petit feu tricolore à l’entrée de mon bureau, Irène ? Et nous avons une porte de communication entre nos deux bureaux, elle est là pour qu’on s’en serve…" Tout en lui parlant il lui caressait la bouche, du bout des doigts. Il semblait fasciné par le rose à lèvres brillants qui soulignait toujours avec splendeur la petite bouche d’Irène. " - Vous savez ce qui me ferait plaisir, là, maintenant, Irène ? — Euh, non… — J’aimerais que vous me suciez pendant que je termine mon café. — Euh… Mais…" et elle désigna la porte d’entrée. " - J’ai mis le feu rouge, ma petite Irène…" Irène sentit une chaleur et une rougeur intenses lui monter au visage. Mais elle n’avait rien à lui refuser. Fabrizio était en train de lui peloter ses gros nichons, et il avait l’air très excité. " - Sortez ma queue, Irène" lui dit-il d’une voix grave et presque ...
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