1. Le prix à payer (7)


    Datte: 22/11/2020, Catégories: Hétéro

    ... Elle sentit qu’elle était toute mouillée. " - Venez ici, ma petite Irène." Et il glissa sa main sous sa jupe. "Descendez votre culotte." Comme une poupée, Irène se laissait faire. Elle n’eut d’ailleurs pas à s’exécuter puisque c’est son patron qui lui descendit son brésilien, qui tomba jusqu’à ses pieds. D’instinct, elle écarta les cuisses. " - Vous n’aurez pas besoin de culotte pour travailler avec moi, Irène. D’ailleurs, vous aurez la consigne de ne jamais en porter. Ainsi vous serez parfaitement disponible." Et elle ferma les yeux, tandis que les doigts de Buzzato étaient montés entre ses cuisses et avaient trouvé la vulve entrouverte et bien mouillée ; maintenant elle se laissait branler. " - Mmmm… j’aime votre chatte, Irène" murmura-t-il, "elle est toute douce… et toute humide. Je suis ravi de savoir que c’est moi qui vous ai mis dans cet état…" Ses doigts glissaient d’arrière en avant dans sa fente toute gluante. Irène se laissait faire, les cuisses écartées, la jupe à peine retroussée et elle avait conscience de sa posture obscène, mais elle s’en foutait. Elle avait trop envie d’être soulagée, elle voulait être débarrassée de cette tension sexuelle. Elle était sur un petit nuage, elle se laissait bercer par cette ambiance euphorique, érotique, et même dans ses souvenirs les plus chauds de l’époque où elle était jeune fille, elle n’avait jamais eu de telles sensations. Son plaisir monta très vite. Fabrizio la branlait de plus en plus vite, entrait une fois sur deux ...
    ... un doigt en elle, tandis que son autre main lui caressait les fesses. Elle commença à pousser des petits couinements mêlés de soupirs, se mordait les lèvres, la bouche pincée pour se retenir de crier. " - Ne vous retenez pas, Irène, jouissez, criez, les murs sont parfaitement isolés du point de vue phonique, personne ne vous entendra. Irène mis son poing devant sa bouche, dans un geste charmant de coquetterie féminine, mais se mit à crier quand Buzzato lui glissa son majeur gauche dans l’anus tandis que le majeur droit branlait son vagin. Il porta ses doigts droits à sa bouche, les suça goulûment, mais il saisit finalement Irène par les fesses et l’attira à lui, puis colla sa bouche contre sa vulve qu’il lécha en aspirant à grands bruits le suc de la femme mûre. Celle-ci n’en finissait pas de jouir, elle hoqueta ; son orgasme eut un nouveau paroxysme quand la langue de Fabrizio entra en elle et qu’il ventousa son bourgeon tout durci. Ses jambes eurent comme un tressautement, elle soupira profondément, son plaisir retombait. Buzzato la contempla, et lui dit : " - Vous êtes belle, Irène, vous êtes encore plus belle quand vous jouissez." Elle eut un petit rire nerveux, lui caressa les cheveux. " - Vous comprenez maintenant pourquoi je ne voulais pas d’une jeune assistante débutante ? Qui mieux qu’une femme comme vous pourrait être aussi désinhibée ? Qui se donnerait si totalement à moi, comme vous ? — Oh oui, je suis à vous, Fabrizio, toute à vous !" — Bon, reprenons-nous. Nous ...
«12...6789»