1. Le plaisir d'être nu devant elle


    Datte: 22/11/2020, Catégories: médical, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, humour,

    ... l’air aussi ridicule et que je décidais de remettre mon pantalon. Alors que je l’empoignais, elle répliqua : — Il n’en est pas question. Un examen médical ne peut se passer ainsi. Les vêtements ne permettent pas une visite sérieuse. Je ne l’écoutai pas et enfilai mon vêtement. Elle réagit : — En ce cas, je vous convoque pour un nouveau rendez-vous avec un nouveau slip, et vous n’aurez qu’à vous arranger avec votre patron pour cette fois. Cette remarque eu le don d’arrêter mon mouvement. Enfin, c’est ce que je fis croire car telle était bien mon intention. Je commençai alors à discuter, mais elle restait inflexible. Je terminai la conversation en affirmant : — Je préfère encore faire la visite à poils qu’avec ce slip ridicule… Et je fis mine de partir. C’est alors que je l’entendis me dire : — Mais, sans slip, ça ne pose pas de problème… Je me retournai… — Vous voulez que je me foute à poils, c’est ça ?— Non, répondit-elle. Vous pouvez faire la visite sans slip, c’est juste ça que je veux dire… La brillance de ses yeux démontrait combien elle espérait cette conclusion… Et j’exhaussai bien sûr son vœu. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’étais nu. Complètement nu. Bon d’accord, elle en avait vu d’autres, mais ce sentiment qu’elle avait réussi à me foutre à poils transparaissait sur son visage. — C’est mieux comme ça, sourit-elle. On va donc pouvoir continuer. Elle ne détachait pas son regard de moi. Malgré son métier, ce n’était sans doute pas tous les jours ...
    ... qu’elle faisait se promener nu un mec dans son cabinet. Moi, je jubilais. Ma seule crainte était l’érection. Bien sûr, j’accepterais que ma bite gonfle légèrement pour lui donner l’amplitude idéale, mais une érection au garde à vous, m’aurait gêné. Mais bon, il fallait maintenant que j’en assume le risque. L’examen continua. C’était comique de faire ce qu’elle me demandait les fesses et le reste à l’air. L’examen de la vue, debout au fond de la pièce, un œil caché et puis l’autre, l’examen de l’équilibre, les bras en avant, sur un pied, sur l’autre, les flexions des genoux, tous ces exercices prenaient une saveur particulière en étant dans le plus simple appareil, face à une nana qui manifestement y prenait de l’intérêt. Comme l’érection n’arrivait pas, je m’enhardissais à exercer des mouvements qui faisaient balancer mon zigouigoui. Je la sentais bien émoustillée, et l’ambiance changeait petit à petit. Elle se faisait plus sympathique, se permettant des commentaires qui respectaient cependant tout à fait les limites de la bienséance. L’examen continua. Elle me fit me coucher sur la couchette d’auscultation. La prise de tension se passa naturellement. De même pour l’auscultation. Puis, elle me palpa le ventre, le regard clairement dirigé vers ma bitounette, posée sur ma cuisse. Sans qu’elle ne soit en érection, celle-ci était cependant suffisamment gonflée pour régir à mes ordres. J’en profitai donc pour la faire bondir jusqu’à mon ventre. — Houlà, réagit ma doctoresse. Ça attaque ...
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