1. Le plaisir d'être nu devant elle


    Datte: 22/11/2020, Catégories: médical, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, humour,

    Annuellement, la visite médicale nous est proposée (imposée) pour le travail. Or, la doctoresse que nous avions à rencontrer semblait intéressée, plus que ce que son métier et les habitudes que ce dernier procure ne le laisseraient supposer, par les anatomies de ses patients… C’était une femme sans âge, sur laquelle je ne me serais pas retourné dans la rue, les cheveux châtains, filasses, le corps sec, une paire de bésicles perchée sur le bout du nez. Nous nous amusions entre collègues à raconter ses manières de se comporter vis-à-vis de nous. Cela amusait la majorité… surtout les mâles… Pour les filles, seules celles qui avaient une grosse poitrine avaient des récriminations à faire. Ces dernières se trouvaient en effet dénudées la plus grande partie du temps de la visite, ce qui n’était pas le cas pour celles qui avaient de plus petits seins… Mais ce n’est pas des filles dont il sera question ici. Pour nous les mecs, nous sentions une perversité évidente chez elle, perversité qui se traduisait par des mains baladeuses et des regards sans équivoque… Parlons tout d’abord de la visite en elle-même. Nus, excepté le slip, nous passions une visite assez traditionnelle. Ce n’est qu’aux moments, notamment de la mesure du poids et de la taille, de l’auscultation, de la palpation du ventre, que nous ressentions un trouble dans son comportement, trouble qui nous amusait, c’est en tout cas ce que les collègues me disaient. Pour ma part, j’étais assez émoustillé… Ce sont nos fesses ...
    ... qui avaient l’honneur de ses caresses pendant la mesure et la pesée. En effet, elle nous guidait (plus que nécessaire ?), les mains bien posées sur l’une de nos fesses. Nous devions nous retourner. Ce sont ses mains qui assuraient la rotation en palpant allègrement nos globes fessiers… Pendant l’auscultation, elle posait sa main sur la cuisse nue, et distraitement sans doute, remontait cette main, jusqu’à la limite du slip. Ceux qui avaient la bonne idée de mettre un caleçon américain, voyaient même les doigts disparaître sous l’étoffe. Certains prétendaient même avoir senti ses doigts frôler, voire plus, le matériel dont ils étaient si fiers. Je ne mettais pas de caleçon américain. Par contre, je peux affirmer que le contact entre cette main et le tissu du slip visait une partie bien précise de mon anatomie… Ce qui me marquait le plus, moi, c’était la palpation du ventre. Elle insistait longuement, poussant profondément à la hauteur du bas-ventre, ce qui avait pour effet d’éloigner la peau du tissu du slip, et laissait la place pour que mon sexe se glisse par l’ouverture ainsi pratiquée… Ce qui n’a pas manqué de se produire… légèrement. Certains collègues, dans une soirée un peu arrosée, racontaient eux des apparitions moins furtives… Mais là n’était que le début. Notre doctoresse prétendait ensuite devoir prendre d’autres mensurations. Nous n’avions pas connaissance lors d’autres visites médicales de cette prise de mesures. Elle aurait affirmé à un collègue que ces mesures ...
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